Chapitre 22 : L'ombre du passé

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Je nous sens observée. Je sais que cette sensation est normal mais cela me fait bizarre. Je suis rarement observée ou alors c'est Lomion qui m'observe d'un coin quand je m'exécute à une occupation. Il le fait depuis tout petit. Là, je sais que c'est sois des personnes qui se font discrètes de peur de rencontrer des inconnus, car oui il y en a quand même ici, ou se sont des assassins qui nous suives à la trace pour voir si l'on va faire quelque chose. Par contre, je trouverai qu'ils seraient moins réactif aux intrusions si c'était le cas. Je sens la main de Dairiun serrer la mienne et se tendre un peu plus, il a remarqué qu'on était suivi, seulement maintenant ? Lui aussi devait penser au passé. Après tout lui y a vécu depuis sa naissance, cela fait encore plus de souvenir. Je le regarde alors qu'il avance devant moi. Tu as tellement changé, mais en bon Dairiun, ne redevient jamais un total enfoiré d'une certaine époque. Il a légèrement tourné la tête vers moi et j'ai eu peur un instant que j'ai pensé à voix haute. Non pas que cela me dérange de lui dire c'est juste que cela aurait été gênant. La seconde d'après je baissai la tête et lui me tira fort en avant. De surprise j'ai faillit tomber et mon bras a protesté de douleur à se geste. Le regard en arrière que j'ai jeté suffisais à me faire comprendre que la flèche qui a traversé ma cape devait m'atteindre bien plus au niveau du coeur. Je suis vraiment idiote à me concentrer sur mon allié plutôt que mes ennemis. Bon sang ! Je lâche la main de Dairiun et aussi vite que fut ma petite surprise je pris mon arc et décoche une flèche en direction de l'ombre mouvante. Le petit cris de mécontentement et de surprise m'appris donc que mon assaillant ne s'attendais pas à de la riposte. Au son de sa voix je peux dire que c'est une femme mais au son des léger flottements qui on parcouru la brume, je dirai qu'il y a encore minimum deux personnes et de sexes masculin. Dairiun et moi nous somme regardé et nous avons foncé vers là où nous pensions qu'ils étaient de façon la plus silencieuse possible. La silhouette d'un homme se forma et je me prend son poings sur les côtes. Je suis rouillée. J'en profite au moins pour lui prendre le bras et lui faire une clé de bras. Je lui déboîte l'épaule se qui lui arrache un cri sourd puis quelque chose de froid viens se loger dans ma cuise. A mon tour de lâcher un gémissement de mécontentement. Je lui déboîte l'autre bras et lui met un coup à la nuque de sorte qu'il fasse une bonne sieste. Je pourrais le tuer mais on est pas en mission pour tuer les autres. Je le laisse s'écrouler au sol et j'écoute les frottements des membres des autres combattants pour rejoindre Dairiun. Quand j'arrive je le remarque la lame de la femme sur son cou et une dague, petite dague mais quand même enfoncé dans son ventre, la femme juste devant lui le regard plein de reproches. je me suis bien demandé pourquoi Dairiun n'avait rien fait pour se débarrasser d'elle sachant qu'il aurait eu l'avantage, je tend mon arc et prépare ma flèche mais elle colle un peu plus sa lame sur sa gorge une fois mon geste fait, et de tel façon que si je tire et qu'elle meurt elle lui coupe la gorge au passage. Je dois bien dire que mon envie de tirer est devenu moindre d'un seul coup. Je ne le sacrifierai pas juste pour tuer une personne.

- On va jouer longtemps mademoiselle ? Je sais très bien que si je tire tu le tue. Mais évitons de faire couler du sang inutile.

Ma voix la fait sursauter comme si on la giflais. Je ne comprend pas trop sa réaction, je n'ai pas parler brutalement pourtant.

- Tu es toujours avec elle ? {Sa voix tremblait} Tu ose revenir et en sa compagnie en plus ? Après tout se que tu as fait subir à cette terre et à moi ! Tu n'es qu'un enfoiré !!

- Isil..

- Tait toi ! Je veux te faire payer pour la souffrance que j'ai enduré. Que la déesse m'en sois témoin, le destin ta remis sur mon chemin pour que je puisse accomplir mes demandes.

Isil ? Je, j'avais beau réfléchir son nom me disais quelque chose de lointain mais je ne pouvais pas dire qui elle était. Sûrement une personne qui a connu Dairiun quand nous étions ici, je dirai même sur. Mais qui était-elle pour lui ? Il ne me semble pas qu'il m'avait parler avoir de la famille ici à l'époque. Après nous sommes devenus proches que après être parti d'ici. On était un duo parfait au combat mais ça s'arrêtais là, enfin on discutait de banalité mais rien de privé. Se pourrait-il qu'ils soient étroitement lié et qu'elle se méprend ? Je pense que c'est la seule option. Dairiun était bien silencieux et le regard dans les yeux de cette Isil les iris sombres.

- Je ne veux pas m'inclure à ton expression de souffrance mais j'ai l'impression que tu te méprends et...

- Tait toi Aerin. Tu ne peux pas intervenir dans cette partie là. {Dairiun m'avait coupé la parole mais sa voix lourde montre le poids de se passé là}

- Dairiun, tu ma trahi moi plus que la Terre. Tu es partie avec une autre. Pourquoi ? Qu'avait-elle de mieux ? Pourquoi ne pas m'avoir emmené ? Pourquoi être parti !! Pourquoi ne pas avoir simplement brisé votre lien ! Votre duo ! Pourquoi n'ai-je pas assez compté pour que tu prenne cette option ?!

C'était sa concubine... Il l'a laissé derrière lui et il ne la jamais recherché.. Je comprend son désarroi et sa colère. Je peux comprendre qu'elle lui en veux et à moi aussi par la même occasion surtout en sachant comment cela a finis mais je ne voudrais pas qu'elle se méprend, vraiment. Le problème étant que Dairiun ne veux pas que j'intervient et je ressemble à un décoration mise là par hasard. Je me ramolli en laissant les sentiments prendre le dessus au file du temps que je passe sur ses Terres. Je vais devenir folle. Je n'aime pas mais vraiment pas ressentir se genre d'angoisse. Je les regardes me demandant à chaque seconde ce qu'il va se passer l'arc toujours tendu. La main de Dairiun viens se poser sur la joue de Isil et on peut voir toute la désolation qui l'habite.

- Je suis désolée. Mais je n'ai pas eu de choix. Les dirigeant on voulu nous éliminés sans préavis parce que nous devenions trop fort à deux que ce que leurs contrôle pouvais contrôler. Je ne suis en premier lieu pas parti parce que je l'aimais elle mais parce que nos vies étaient joués et que j'étais mis au pied du mur. Et tu te doute que je ne t'aurai jamais emmené avec en sachant le danger. Tout ceux qui étaient bon assassin on été mis à nos trousses et le sang a beaucoup trop coulé se jour là. On avait déjà du mal à se surveiller l'un l'autre, alors te rajouté au milieu c'était te tuer à l'avance. J'ai fais le choix qui était le meilleur pour ta suivi. Tu peux m'en vouloir autant que tu veux mais au moins comprends mes raisons.

Elle a sourit d'une façon carnassière et le dérapage était proche.

Kaligorma : L'histoire D'une Elfe [Terminé mais en réécriture}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant