Kaligorma : L'histoire D'une Elfe [Terminé mais en réécriture}

Chapitre 59 : Le général

Peut importe le nombre de soldats qui m'attaquais, je les tuais tous avec une rage déconcertante. Je pouvais sentir mon sang brûler dans mes veines plus je tuais d'hommes. Plus je tuais plus mon pouvoir grandissais en moi, comme si cela me rechargeais plus vite d'hotter l'essence de mes adversaires. JE n'aime pas cette sensation d'être un être assoiffée de sang, de mort. Mais je n'ai pas le choix de poursuivre sur cette voie pour le moment. Je ne dois pour mes soldats. Sacrifier un bout de mon âme sera moindre si c'est pour sauver plus de leurs vies. quand j'arrive enfin à faire une percé dans l'armée pour trouvé le général, je tombe nez à nez à lui et avec surprise j'y retrouve aussi Sulimo. Pas besoin de préciser ma méfiance quand je les ai vu face à face immobile. Après que j'appris la forte possibilité d'un traître parmi nous, je douterai de tout le monde. En particulier ceux qui n'ont pas vécu les guerres précédentes. Le général tourna sa tête vers moi. Je devais être déjà mal en point mais ma rage de vaincre me ferai tenir début encore un moment. Je me bâterai jusqu'à ce qui je tombe au sol d'épuisement. Et je pense que pour cet homme se sera pareil. Quoi que, est-ce vraiment un homme ? Il me semble voir le visage d'une femme sous l'épais casque noir de cette personne. Je m'avançais donc vers eux les épées serrées aux mains. En jetant un coup d'il vers Sulimo je me suis rendis compte que sont regard était vide et son teint livide. Je fronçais donc les sourcils. Pourquoi était il dans cet état ?

- Tu le seras bientôt. {Me dis une voix féminine, je tournais mon regard vers le général qui était donc bien une femme}

- Que lui avez vous fait ?

- Un petit tour que je suis sûre, tu seras ravi de subir avant de mourir. {Elle allongea son bras vers moi en me pointant du doigt} Fais de beaux rêves.

A peine avait elle prononcé ses derniers mots que mon corp s'immobilisa tout entier. Je ne pouvais plus faire un pas, ni même parler. Je vois. Elle a un pouvoir de contrôle. J'ai été assez idiote pour ne pas comprendre au bon moment. Je vois d'un coup ma vision se troublé de rouge. Serais je entrain de saigner ? Le rouge devient de plus en plus épais et je ne vois plus que du rouge. D'un coup le sang disparait et ma vision a changé. Je suis en mouvement ? Je vois des soldats tomber sous les coups de mon épée pourtant je ne me sens pas bouger d'un poil. Puis je remarque. Je remarque son épée, son armure. J'ai la vision de Dairiun. Pourquoi donc ? Bon sang elle m'immobilise mais elle m'aveugle aussi ? Ca n'a pas de sens. Je ne vois de battre comme si j'étais lui. Je le vois se prendre des coups, je les ressentirai presque. Non, je les ressent vraiment je sens sur mon corps couler cette poisseur qu'est le sang. Plus je reste comme ça plus j'ai une peur qui grandi en moi. SI je voyais qu'il mourrait comme ça ? Non je ne veux pas, je ne pourrais pas supporter ça. Je dois me défaire de son sort. Hors de question que je vois cette vision. Je suis dans une espèce de trans étrange. J'ai chaud et froid comme si mon âme sortait de mon corp et s'apprêtais à partir vers nos dieux. Je refuse. Elle ne m'aurai pas comme ça. Dairiun bon sang repousse mon âme ! Sens moi ! Je hurlais mentalement comme s'il pouvait m'entendre. Je sentais mon être vibrer comme si une corde était prêtre à rompre. Je vois toujours la vision de Dairiun mais je ne peux m'empêcher de mes débattre et de faire ce que je peux pour ne pas regarder mais j'ai peur que mes actions l'influence. Ce serai une manière de ma tuer et de le tuer en même temps que de me faire aller en lui pour le déconcentré et le faire mourir sous l'inadvertance. Je maudit leurs pouvoirs conçues pour la mort ! Je ne sens même plus mes propres blessures. Mon corp ? L'ai-je quitté ? Non je ne crois pas, mes liens ne sont pas brisés. Bon. Je respire et je trouve une solution. Je pris un instant pour réfléchir. Puis j'eu une idée mais je ne serai à aucun moment si cela marche et e pourrait blesser Sulimo si ça marche. C'est un problème qu'il faut soit que je tente sois que je refuse et je reste forcément bloquée.

Pardonne moi mais je dois tentée. Je concentrais toute mon attention à libérer doucement mon pouvoir. comme je n'ai pas besoin de bouger pour ça je me dis que se sera forcément efficace mais je doute. Malgré tout si je le fais et que cette général m'a vu à l'uvre tout à l'heure elle sera qu'il faudra me tuer pour éviter que je repende mon pouvoir. Donc elle sera obligée de me toucher ce qu'il me permettra de revenir. Après je serai surement gravement blesser suite à ça. Mon pouvoir stoppera un peu de son attaque mais je recevrai quand même le coup. Donc c'est compliqué. Mais je verrai bien à ce moment. Je peux le sentir quittée mon corps. Maintenant réagi. Si elle avait prévu ça alors je serai finis. Le temps que je réfléchisse à ça j'ai vu un grand coup atteindre Dairiun et ne pu m'empêcher de crier d'angoisse même si je ne serai pas entendu. Juste après ça, je le vois mettre un genoux à terre et je fus reprojetée dans mon corps. J'avais tendu inconsciemment la main vers lui avant de revenir, après ce spectacle j'aurai préféré être près de lui. Je pris une inspiration en Portant mes mains à l'épée appuyée sur mon torse déjà trop enfoncée à mon gout. Je serrai mes mains dessus ce qui me coupa mais tant pis. Je me baissais vers le sol et tenant fermement l'épée. Par pitié, ne glisser pas mes mains. Je regardais mon ennemie qui elle appuyait bien plus ce qui ne m'aidais pas à m'en extraire. Je décidais donc de dévier l'épée. Au moment où je fis cela, l'épée m'entra directement à travers les côtes. Ma respiration fut coupée sur le coup. Le mal de chien que cela me procure ! Je serrai les dents en essayant de respirer. Bon sang ! Le poumon m'a l'air encore touché ! J'ai une meilleure résistance suite à ma vieillesse mais n'abuser pas à toujours me transpercé ce poumon là ! En rageant intérieurement, je finis par cracher du sang au visage de mon bourreau. Elle recula de quelques centimètres à cet instant et ce fut le moment que je choisis pour m'extirper de son épée. Disons que se trancher volontairement le corps n'est pas le passe temps que je préfère. Je portais directement ma main à ma blessure qui me faisais saigner bien trop pour le temps que je devais encore rester debout. Je prenais mon poignard accrochée à ma cuisse. Elle me regarda après s'être essuyée les yeux.

- Il ne te servira à rien.

- Ce n'est pas pour toi qu'il est réservé. {Elle haussa un sourcil} Il est pour lui.

Je lançais mon poignard dans le côté de la cuisse de Sulimo pour ne pas le blesser de trop mais juste pour qu'il revienne parmi nous, en espérant que cela ne serai pas trop tard. La général grimaça.

- Tu es un vraie plaie ! Tu ne peux pas mourir comme tout le monde ? En silence et en acceptant sa mort ?

- Ce n'est pas mon genre. Mais prépare toi plutôt à mettre l'arme à gauche.