Kaligorma : L'histoire D'une Elfe [Terminé mais en réécriture}

Chapitre 18 : Retrouvaille sombre

Dairiun et moi nous nous retrouvons sans nos armes, les mains attachés et au milieu de se groupe. Ils riaient à leurs prises mais ne nous parlaient pas à moins de nous dire d'avancer plus vite. Nous prenions sur nous et notre égaux qui lui faisait des siennes à être traité ainsi. Nous avons marchés, quittés les sentiers, passer des petits pont qui reliaient les deux bouts de la falaise. Nous aurions pus nous échappez comme dis, mais bon c'était des civiles et nous n'étions pas la pour verser le sang. On traverse accompagné de ces hommes qui n'ont l'air ni plus ni moins que de pauvre ivrogne mais pourtant avec une lame bien trop aiguisée. Nous avons traversé encore un peu de forêt et quand le soleil fut à son zénith, nous pouvions apercevoir un ville. Cette ville me disais vaguement quelque chose. Je me demande si je n'ai pas du passer par cette ville pour m'enfuir.
Dairiun était à côté de moi et semblant plus que tendu. Je le regardais détendu. Après tout je venais d'ici donc je connais leurs techniques, enfin les anciennes, s'ils ont changés je ne serai rien de leurs techniques. On nous a mené ver sinon bâtiment bien construit pour ce territoire, on nous a poussé à l'intérieur qui leurs à valu un grognement de Dairiun et moi.
Quelqu'un riait entouré de plusieurs personnes au fond de la salle. Il nous tournait le dos et j'étais bien plus sur mes gardes maintenant que j'étais entrée. Mais je ne m'attendais pas à ce que j'allais voir ou plutôt retrouver. Ce rire, cette voix, elle me stridait. J'étais tendu comme un arc comme si j'allais recevoir une claque violente. Et au final j'aurai préféré. Ses hommes qui nous avaient capturés sont allés saluer l'homme et le prévenir de notre présence. C'est alors qu'il a arrêté de rire et il remercia l'homme. A l'instant où il se retourna mon monde se mis à tourner comme au ralenti, j'aurai surment chancelée si je n'avais pas été si tendu au point d'en avoir moi. Dairiun à côté de moi me regardais du coin de l'oeil je sentais son regard sur moi. L'homme posa d'abord son regard sur Dairiun en souriant dun air louche, mais quand il me vit, alors la son sourire devin bien plus sombre et terrible. C'étais lui. Mon passé m'étais déjà revenu à la figure en arrivant sur ces terres mais lui, face à moi.. Je gardais la tête froide pour ne pas flancher. Mon grand frère était devant moi au fond de cette pièce. Il me toisa de son regard mauvais et je pouvais y lire trop de chose. Aegor qui signifi feu cruel, porte bien son nom. Mes muscles tendus je retiens les pulsions qui me viennent avec les souvenirs passé. Il a bien changé cette adolescent un peu maigrichon que j'ai quitté, était devenu un homme avec une musculature presque hors norme. Plus grand aussi et les yeux plus vicieux que dans le passé. Je me sentais mal. Pourquoi un passé si lointain me touchais autant ? Ça ne devrai pas. Je suis passée par tellement de choses que ça ne devrai être rien ça. C'est quand il pris la parole que je sortais enfin de mes pensées qui lancés à toute allure s'arrêtèrent nettes.

- Hé bien hé bien. Vous ici ? Oh comme c'est gentil de nous rendre visite. {Son sourire me glace de l'intérieur, il est plein de représailles} Je ne m'attendais pas à une telle visite sur mes terres. Deux membres du conseil m'a-t'on dit. {Il nous regarde toujours tour à tour} Le fameux guerrier de l'ombre et la fameuse guerrière de sang. Aerin je me doutais que finalement tu aurai été aussi sanglante que père aurai pu le souhaiter. Haha tu me fais rire. Une légende à genoux chez moi. Que c'est drôle.

Pile à cette instant on nous a donner un coup dans l'intérieur de nos genoux ce qui nous a obligé à tomber genoux à terre. La douleur qui se répercuta dans mon dos m'arracha un rictus de douleur. Je le maudis. Dairiun m'avais regardé quand il avait parlé de père. Je ne pense pas qu'il soit aussi imbécile pour ne pas avoir compris non pas forcément par ce qu'il venait seulement de dire mais aussi car ses yeux et ses cheveux était un reflet des miens à l'exception d'une mèche d'un rouge vif dont les pointes aussi était taché.

- Ce n'est pas un honneur. C'est plutôt une tragédie. Me retrouver la avec un fardeau cela est plutôt ennuyant.

Oui ce que je disais était de la pure provoque mais je ne pourrais pas rester face à lui sans rien dire et me terre comme un gentil chien le ferai. Il s'approcha de moi et nous ne nous lachions pas des yeux. Quand il fut enface de moi et pris avec violence mes cheveux dans sa main en la mettant en arrière. Je ne lui est pas fais l'honneur de voir une quelconque douleur sur mon visage.

- Tu es bien téméraire mais je te mettrai toujours la raclée. Tu n'es qu'une pauvre femme recueilli par je ne sais qui ou quoi qui t'a permis d'être dans l'armée royale avant d'y siégé. Personne n'a pour toi de l'amour, tu es juste un pion.

Il n'avait pas tord. Je le savais.

- Oh et d'ailleurs ma chère soeur, tu serai contente d'apprendre tant que tu es encore là que tu as des neveux et nièces. Je vais même pouvoir laisser mon fils tuer sa chère traîtresse de tante sous les yeux de ton "ami".

Il souriait fière de lui alors que je me mis à rire fortement en le méprisant.

- Oh Aegor, tu crois me maintenir avec tes pauvres chaînes ? Haha sort de ton rêve, tes chaînes sont le cadet de mes soucis. Tu me parlait plus faible qu'à l'époque. Comme quoi le temps ne ta pas réussi.

Je vois Dairiun qui soupire, ce qui a l'avantage de faire venir sur lui l'attention.

- Vos querelles sont plutôt amusante à voir mais assez lassante. Un frère qui a de la haine contre sa soeur ainsi que du dégoût et la soeur qui a du mépris ainsi que du dégoût vers son frere. Vu et revu. Maintenant si vous voulez bien nous excuser, nous n'avons pas que ça a faire.

- Tu semble pressé ? Pourquoi ne pas s'amuser ? {Il m'a relevé vers lui par les cheveux qu'il n'avait toujours pas lâché} Je suis sur que nous pourrions nous divertir n'est ce pas ? {Il m'a sourit d'une façon trop dédaigneuse et plaines de promesses sales} Je suis sur que se serai amusant pour toi de la voir dans certain état. Oh à moins que tu ne l'ai déjà eu des tes draps ? Sa peau douce et laiteuse miroitant dans le noir ? Ahahah j'en connais qui paierai chère une botté à dressé...

Je n'ai même pas eu le temps de réagir moi même que Dairiun avait brisé ses chaînes, pris l'épée d'un garde qui était sencé le tenir en lui donnant un coup au ventre, que l'épée se trouvait déjà sous la gorge de mon frère. Son regard avait changé. Plus sombre qu'il y a quelque instant et sa colère était palpable.

- Traite la encore comme une traîné et dirigeant ou non de cette terre je te tranche la gorge. Soit encore heureux que je te prévienne car se n'est pas dans mes habitudes.

Mon frère avait un peu pâlit mais souriait encore plus. Je soupire en regardant Dairiun dont la réaction d'à l'instant était l'espérance de mon frère.

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Chapitre 19 à venir.
J'espère que ce chapitre vous aura plus ? N'hésitez pas à me laisser des commentaires et vos conseils.
Je vous souhaite une bonne lecture prochaine ^^
Ciao.