Chapitre 7 : Présent perturbé

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Je me réveille donc après ce rêve ou plutôt ce cauchemar qui me marque encore de sueur. J'ai les yeux perdus dans le vide à me dire que ce n'est pas possible que cela n'arrivera jamais mais je suis parcouru de frisson comme si j'y avais assisté, comme si c'étais réel. Je relève d'un coup là tête vers la porte et c'est à cet instant que la porte s'apprête à s'ouvrir.

- N'entrez pas !

La poignée qui venait de s'enclancher se stoppa et reviens à sa place habituelle. On me parla par delà la porte.

- Aerin ? Vous allez bien ?

C'étais Kementari. Je reconnais sa voix douce.

- Rien. Je vous rejoins au déjeuner  laisser moi une demi heure. Je mangerai seule si jamais.

- Bien...

Je sens bien dans sa voix qu'elle s'inquiète mais je n'étais pas en état de la laisser entrée. Je sors de mon lit. Je vais prendre un bain rapide pour m'enlever toute cette sueur en revivent mon rêve à travers l'eau qui me coule dessus. J'espère que ce n'étais qu'un rêve de passage un rêve qui ne se réalisera jamais même si la première partie serai possible.. Mais la deuxième je refuse d'y croire un instant. Le bien et le mal se disputeront toujours, l'un ne peu pas vivre sans l'autre. Lòmion je ne lui est expliqué que l'art de la guerre, l'art de la défense, certainement pas les arts ancestraux que seul, maintenant peu après la guerre, connaissent. Je n'imagine pas un futur où cela referai surface. Je sors, m'habille d'une robe couleur gris pâle puis me dirige à la salle du petit déjeuné. Tous on une tête assez mal réveillé. Plus les hommes que les femmes mais Estë semblait elle aussi de mauvaise humeur. Je ne vis pas notre roi ni le futur roi. Lòmion non plus ne fut pas là, ce qui me fit legerment paniquer. J'allais me retourner en toute discrétion pour partir mais je n'en eu pas le temps.

- Tu es en retard.

- Tu parle trop.

Nous nous regardâmes. Il a vraiment tendance à me repérer partout comme autrefois. Dairiun sourit avec une arrogance digne d'un réveil pour lui.

- Ne me regarde pas comme ça. Je vais avoir l'impression que tu as envie de moi après.

Je pris le couteau posé devant moi sur la table et le lui lança. Se dernier surpris a à peine eu le temps d'avoir les yeux qui s'arrondissent que le couteau à beurre c'était déjà planté au dessus de son oreille aillant frôlé de près cette dernière et le côté de son crâne. Tous se sont retournés pour nous regarder.

- Je ne suis pas d'humeur à accepter tes plaisanteries obscènes.

J'étais froide. Je le savais. Et je vis sont regard s'assombrir de tristesse un cour instant. Surment avait - il pensé à une époque devenu lointaine pour moi. Puis enleva le couteau.

- C'est parce qu'on ne ta pas réveillé en douceur que tu t'en prend à moi ? Après je respect ton humeur magistral.

- Je l'ai réveillé doucement déjà ! Et arrêtez de la tutoyer. Vous êtes au palais et elle a un respect que tout le monde lui dois. {Kementari avais parlé fermement}

- Ne devriez - vous pas vous mêlez de ce qui vous regarde ? Aerin et moi nous nous connaissions déjà avant votre naissance.

- Dairiun tait toi. Elle n'a pas tort. Le nouveau conseil ne fais pas dans les sentiments ancien ni nouveau. Contente toi de suivre.

Il ne répondit pas et se renfrogna. Je m'installais inquiète pour Lòmion et mangea. Lui et moi, ça ne serai plus comme avant. Nous ne serions plus seul dans notre maison. Il ne viendrai plus me demander conseil. J'ai peur de l'éloignement presque inévitable qu'il va y avoir. Faut il que l'ancien revienne et que je perde le nouveau ? Je restais plongée dans mes pensées longtemps jusqu'à ce que l'on me tire de mes pensées. Maeglin entra dans une joie mal réprimé.

Kaligorma : L'histoire D'une Elfe [Terminé mais en réécriture}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant