Kaligorma : L'histoire D'une Elfe [Terminé mais en réécriture}

Chapitre 25 : La normale revient

Quand j'entre dans le hall le prince vient d'arriver en haut des marches. Je vois qu'il n'ai pas aussi bien habillé que d'habitude. Quand il me voit il me sourit comme à son habitude.

- Comme vous m'avez manqué ma chère et tendre Aerin. Les jours au palais sans vous sont bien sombre.

- Je vous en pris arrêter de me faire la cours à peine arrivée.

Les soigneuses sont venus m'agresser d'un coup. Je ne pensais pas qu'elles prendraient ça pour une urgence. Elles ont soulevés mon tee-shirt là où il y avait un troue et du sang. J'ai directement baissé le tissu.

- Vous êtes folles ? Un endroit où il y a des hommes vous montrez presque ma poitrine devant eux. Mon dieu soyées un minimum patiente de me soigner, si je tiens debout c'est que je ne suis pas trop mal.

- Parle plutôt deux hommes qui n'ont pas vu.. {Je frappe Dairiun avant même qu'il termine sa phrase avec un regard noir} Aie. {Il sourit} vous voyez elle est assez en forme pour me frapper.

- Madame ! Vous aviez aussi dis ça la dernière fois que vous reveniez de mission et votre état était déplorable. Navrée de m'en inquiéter.

- Nana je vous en pris allons donc dans un lieu plus approprié à votre inquiétude et ma nudité.

- Le peu que j'ai vu ne m'en a pas déplus, mais cette blessure me déplais au plus haut point. {Il était arrivé devant moi le temps de mon petit débat} Comment as-tu pu avoir une tel blessure ? De plus tu as du avoir tellement de chance. Pour moi, en voyant ça, c'est ton coeur qui aurai du être pris. Tu devrai donc être morte. {Son air qu'il affiche est grave et le mieux neutre}

- Aerin c'est vrai ??

- Lomion, arrête de tout écouter. Je te l'ai dis, si c'était si grave je ne serai pas debout à parler.

- Mais..

- Allons laisse moi me faire soigner et nous en reparlerons après. D'accord ?

- D'accord...

J'emboîte le pas à mes soigneuse qui me font la moral sur le fait de mentir à mon fils et de rester debout après un coup pareil. Ma foi je ne suis pas si fragile. J'ai vécu pire. J'ai légèrement entendu les hommes commencer à se disputer et j'ai soupirer en entrent dans le salle de soin. Nous avons dut bien passer deux bonnes heures à me soigner correctement en étouffant mes cris de douleur quand elles m'ont charcutés pour voir l'état désastreux de mon poumon. J'avais oublié que des organes autres que le coeur pouvait être touché. Donc ma surprise fut totale quand elles m'ont raccommodés comme si j'étais une vielle broderie. Je suis sur que quelque part elles me punissent pour avoir été aussi sotte. Mais au moins mon coeur avais réagi comme son instinct de survie le demande, comme au combat. Donc j'ai limité les dégâts mais aussi mieux compris pourquoi je me sentais si mal.

C'est avec un bandage et une robe, qui ne m'avais pas tant manqué que ça, que j'allais rejoindre Lomion, Dairiun et Maeglin pour en premier lieu le repas puis le rapport que l'on devait donner même si je sais très bien que Dairiun a déjà du dire le strict minimum nécessaire. En entrant dans la salle mon petit Lomion vient me prendre dans ses bras doucement en retenant toute sa force pour éviter de me faire mal.

- Alors ?

- Je vais bien. {Je souris en lui caressant les cheveux}

- Je suis tellement soulagé.

- Haha tu te prend trop la tête. Un guerrier ne dois pas s'embarrasser d'autant de sentiments et d'émotions.

- Je le sais bien mais vous êtes la chose la plus précieuse que j'ai, alors mon inquiétude est justifiée. {J'ai rougis je l'avoue}

- Idiot, allons donc manger. 

Je m'assoie entre Lomion et Dairiun et ce dernier m'interpella. 

- Est-ce que nous pourrions parler après la réunion de tout à l'heure Aerin ? J'aimerai voir quelques mises au point avec toi.

- Bien-sûr.

Nous mangions donc pendant que mon fils me posait plein de question sur le voyage. Je lui affirmais que de loin la plus belle terre est celle des torrents. Je le lui est détaillée un peu, en lui parlant de ces eaux claires et pures, de tout ces espaces d'eaux plus magnifique que terrifiant par leurs force et forme, les arbres qui ne sont trouvables que chez eux, les feuilles sont des goûtes d'eau cristallisées naturellement et non pas par le froid. Ses yeux si brillant qui me rappel quand il était enfant mon obligé à continuer mon récit. J'ai aussi remarqué que le prince m'écoutais avec attention et émerveillement aussi. Quand j'u finis le repas se terminait. Nous nous sommes donc dirigés vers la salle de réunion sans Lomion.

- Dairiun ma déjà donné des indications mais j'aimerai mettre certain passage au claire avec toi.

- Je suis à votre disposition.

- J'aimerai savoir comment tu te fais blesser, ce qui s'est passé pour vous retarder et aussi pourquoi tu mens sur la gravité de ta blessure.

- Je ne suis pas sur que mon état sois à mettre dans le rapport.

- Mais je veux savoir.

- Très bien. Je me suis fais blesser par une erreur d'attention je n'ai pas fait attention à mes arrières sur un territoire qui n'aime pas les étranges et j'ai payé le prix de mon erreur. Ensuite nous avons pris du retard à cause de contre temps dans les différentes terres tel que des villageois qui ont fait remonter notre présence aux dirigeant. Pour finir, que je mente ou dise la vérités sur mon état de santé ne vous concerne pas. Mais j'ai préféré mentir à mon fils pour éviter que son inquiétude déjà grande ne grandisse plus que ça. Vous devriez essayer de comprendre qu'un parent protège son engeance.

- Ici se n'est pas ton engeance.

- Serte mais il reste mon fils et je l'aime bien assez pour lui éviter des tracas inutiles dont je sais moi même que cela ira bien.

- J'en ai fini dans ce cas. Mais j'aimerai vous rappelez que j'ai beau vous avoir dans mon coeur j'aimerai tout de même que vous n'oubliez pas que je suis le futur roi.

- Ça je le sais déjà très bien. Et je dois dire que j'espère que vous serez meilleur que votre père ou que vous ne nous ferez pas couler. {Il grimace à ma remarque, je me sais tranchante} Sur ce, je voudrais me retirer pour me reposer.

- Vous pouvez y aller si j'ai besoin de plus d'information je vous ferais chercher. 

- Merci. 

Dairiun et moi nous inclinons et sortons. Je l'ai vu quelques heures que j'en ai déjà assez de lui pour la semaine. Dairiun ma pris doucement le bras et je me suis arrêtée en le regardant surement un peu trop agressivement.

- Désolé. {Il enlève sa main pendant que je me maudit intérieurement} Aerin j'aimerai qu'on parle, je te l'ai demandé tout à l'heure.

- Excuse moi.. J'ai été brusque et de plus j'ai oublié du fais que j'étais sur les nerfs. On peut parler je t'écoute.

- Pas ici. On peut aller dans tes appartements ou les miens ? C'est une conversation qui ne regarde que nous je n'aimerai pas que des oreilles trouvent pas mégarde notre discussion.

- Entendu.