Vampiric love Tome 1 [NaruHina]

Chapitre 18 : Première morsure

Hinata

Je me réveille dans les bras de Gaara, qui sourit en me voyant émerger.

- Bonjour, me salut-il.

- Bonjour, tu me regardes depuis longtemps ?

- Une demi-heure environ.

- Pourquoi tu ne m'as pas réveillée ?

- Tu m'avais l'air tellement bien que je n'ai pas voulu te déranger.

- Merci. T'aurais pas un peu de sang de vampire dans le coin ? Ou ne serait-ce qu'une petite poche de sang humain ? Je meurs soif.

Il détourne les yeux, visiblement mal à l'aise alors que ça ne lui ressemble.

- Qu'est-ce qu'il y a ?

- Je n'ai pas de poche à te donner, parce que je bois à la veine...

- C'est pour ça que tu t'inquiétais ? Si tu veux boire du sang frais, c'est ton choix pas le miens. Je ne vais pas t'en vouloir pour ça !

- Je sais... mais je n'obéis pas à la règle...

- Tu ne tues personne que je sache ? Et puis je paris que c'est une personne consentante ?

- Oui...

- Donc tout va bien ! Et puis, dois-je te rappeler que je bois le sang de mes contrats ?

- C'est vrai... tu peux prendre le mien sûr tu veux.

- Proposition intéressante mais je vais refuser. Par contre, je vais devoir faire une escale à l'hôpital.

- Fais comme tu veux, tant que tu fais attention à toi, ça ne me pose aucun problème. Je risque d'être occupé une bonne partie de la journée, mais si tu as besoin, tu demandes à quelqu'un où je suis et tu viens me voir, d'accord ?

- C'est noté. Bon j'y vais alors, à plus tard, lui dis-je en faisant un signe de la main.

- A plus.

Je m'aventure dans les couloirs, prenant mon temps, n'ayant pas de souci à gérer ici. C'est au détour d'un couloir que je tombe sur Kankuro et Temari.

- Tiens Hinata ! M'interpelle Temari.

- Qu'est-ce que tu fais là ? Demanda Kankuro.

- J'ai eu un petit souci à Konoha qui nécessite mon absence, donc me voilà !

- Rien de trop grave ? Dit Temari.

- Non ne vous en faites pas. Bon je dois y aller, mon estomac crie famine. A bientôt !

- Ouais, répondirent-ils en même temps.

Je repars et profite de ma longue balade pour regarder les rues de Suna, que je n'avais pas traverser depuis longtemps.

Ça n'avait pas changer d'un pouce, c'était toujours aussi rustique mais beau à la fois. Un quart d'heure plus tard, j'arrive enfin au lieu de ma recherche et y entre.

Je m'avance de quelques pas mais suis arrêter par l'hôtesse de l'accueil.

- Je peux vous aider mademoiselle ?

Je n'ai même pas besoin de la regarder pour savoir qu'elle n'est pas humaine, je redresse la tête et la fixe, elle fronce les sourcils, puis écarquille les yeux. Ça y est, elle a compris.

- Oui madame, lui répondis-je en souriant et dévoilant le bout de mes crocs.

Je m'approche d'elle et murmure le plus bas possible :