Chapitre quarante-huit.

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Eden.

1 mois plus tard.

Aujourd'hui avec Norman nous étions invités à un repas de famille chez sa mère. J'avais déjà rencontré sa maman mais j'allais rencontrer son oncle et sa tante, son cousin et sa femme. Impatiente ? Ce n'était pas le mot que j'aurais employé, ni pressée, j'étais simplement, comment dire, obligé de suivre. Je voyais que cela faisait plaisir à Norman alors je n'allais quand même pas lui interdire son bonheur.

-Roh, ce n'est pas vrai, râlais-je.

Norman débarque dans la chambre, une serviette autour de la taille, un coton tige dans l'oreille. Son long cheveu brun dégoulinait sur ses épaules musclées.

-Qu'est-ce qu'il y a mon cœur ?

-Je n'ai plus rien à me mettre, m'exaspérais-je en lançant une robe par terre.

-Attend bouge pas je vais t'aider.

Il passe derrière moi, cherchant dans mon dressing ce que je serais susceptible de porter. Je n'avais pas encore emménagé chez Norman mais il m'en avait vaguement parler... ça allait certainement se faire dans les prochains mois. Vous allez me dire que cela ne fait pas très longtemps qu'on se soit rencontré, mais vous verrez, lorsque vous rencontrez l'amour de votre vie, votre âme sœur, vous n'attendez pas longtemps. Jamais longtemps pour construire votre vie ensemble.

-Et pourquoi pas ça ? Me dit-il en me tendant une veste/robe.

Je la prends, la toise. Souris et lui dépose un bisou sur le front.

-C'est parfait merci mon cœur.

Un sourire malicieux apparaît sur ses lèvres. Je fonce me laver, me maquiller légèrement, m'habiller et me coiffer. Je me lisse les cheveux pour me les attacher en couette après m'avoir vêtu de ma robe, veste en velours rose usée.

-Chérie t'es prêtes ? Demande Norman, la voix rauque

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-Chérie t'es prêtes ? Demande Norman, la voix rauque.

-Oui j'arrive m'cœur.

Ont adorait se donner des petits surnoms avec Norman depuis quelque temps on trouvait sa beaucoup plus vif et sympathique. Je descends en titubant dans les escaliers, j'attrape au passage mon sac à main noir et me dirige vers la porte en prenant mes clés sur le passe. Norman ferme la porte derrière moi. Je monte dans sa voiture du côté passager, il me rejoint avant de démarrer le véhicule et d'appuyer sur la pédale d'accélération. Les paysages passaient de la ville à la campagne, jonchant entre les buildings et les animaux de la ferme, entre les couleurs jaune et grise... Nous arrivions bientôt dans une petite maison avec la façade jaunâtre, un peu usée avec le temps. Cela devait faire longtemps que la maman de Norman habitait dedans... Nous nous arrêtons, Norman enlève les clés du contact et tourne son regard en ma direction, une main sur ma cuisse.

MY DUDE [Norman Reedus]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant