Le père du fils qui n'est pas le fils

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Cc, salut tout le monde, je suis heureuse de vous poster un nouveau chapitre.
Ce chapitre et ceux qui viennent sont pour Natsu-Takemi qui m'a permis de continuer la fic car l'auteur ne m'envoyait plus les chapitre (corrigé mais en anglais).

Bonne lecture.

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L'oeuf d'or

« Je pense que nous devrions continuer au château. » proposa Severus. « Harry est fatigué. » et le jeune homme opina vivement du chef. « Et Adrian et lui viennent de faire face à un dragon. Ils devraient se reposer avant de poursuivre toute discussion. » Harry le bénit intérieurement. Et en regardant l'expression de son père, il sentait qu'il y avait un peu plus derrière sa proposition. Au moment où le maître de Potions avait prononcé le mot 'dragon' il avait considérablement pâli. Quelque part dans le château, il y avait une potion Calmante avec le nom de son père dessus."

James Potter arpentait le couloir devant le bureau d'Albus Dumbledore. Le Directeur venait juste d'intervenir après leurs avoir demandé - James, Lily, Sirius et Remus étant les «leurs» en question - d'attendre qu'il contacte le Ministère, travaillant sur les derniers détails pour le transport des dragons en Roumanie. Les dragons; il ne voulait même pas y penser. S'il ne voyait jamais un dragon de sa vie, il se dirait content.

Il avait été aussi choqué que tout le monde quand il avait découvert que ses fils participaient au tournoi. Ils étaient tous les deux trop jeunes pour même penser à concourir, sans parler d'être choisis comme champions. Même si Harry pouvait techniquement placer légalement son nom dans la coupe, les chances qu'il soit le champion de Poudlard étaient minces, c'est ce qu'il s'était dit. Non, il n'avait eu aucune inquiétude avant la dernière Halloween, du moins aucune liée aux dragons attaquant ses fils.

Puis, Dumbledore les avait appelés pour les informer de sa naïveté; il se souvenait encore des yeux de Lily alors que le directeur expliquait ce qui s'était passé. Elle avait été au bord de la panique et il n'avait pas fait mieux. Le mois suivant avait été, comme prévu, une torture. Adrian avait insisté sur le fait de travailler seul; il avait refusé leur aide jusqu'au tout dernier moment - il avait cependant tenu compte des incitations de Sirius et Remus à rechercher des malédictions cinglantes à la fin, donc c'était quelque chose, supposait-il. Mais avant cela, alors qu'il essayait toujours de convaincre Adrian d'écouter et de trouver un peu de répit pour se concentrer sur la réprimande de certains responsables du ministère pour la meilleure protection possible que le pays pouvait offrir aux champions, son ami, heureusement, l'avait ramené à la réalité.

«Et pour Harry? Avait demandé Sirius, un regard fatigué dans les yeux; il s'était porté volontaire pour assumer les responsabilités de James en tant que chef des Aurors aussi longtemps qu'il était nécessaire que son ami s'occupe de ses garçons et venait de s'effondrer sur le canapé du manoir Potter après encore quinze heures de travail.

«Et Harry? James avait demandé, son esprit inquiet se retournant autour de la question de son ami juste une seconde trop tard pour empêcher les mots de sortir de sa bouche. Cela avait pris environ vingt secondes après cela avant que Sirius ne sorte de la maison et se rende au Ministère à la recherche de Remus. Il avait passé le reste de la nuit à essayer de convaincre Lily - et peut-être lui-même - que s'inquiéter davantage pour Adrian était la chose sensée à faire; leur aîné était celui ciblé par Voldemort, poursuivi pour un pouvoir qu'il ne pouvait même pas encore saisir complètement. Et, alors qu'il avançait dans son adolescence, Dumbledore les avait avertis que le pouvoir se manifesterait de plus en plus violemment. Adrian devait être protégé et c'était tout. Mais alors Harry…