L'homme est-il un animal? C'est une question qui peu trainer en tête de certains qui prennent vraiment la peine de réfléchir au mot "animal". Pour ma part il me semble avoir entendant mon professeur de philosophie en parler au lycée (c'est à dire il y a à peu près trois ans ou plus). L'homme est un animal. Je vous donne mon point de vue, dans le mot "animal" on trouve le verbe "animer"; l'animal serait un "être vivant animé". Je me doutes bien qu'il est difficile pour certaine personne de l'accepter, mais nous sommes bien des animaux! Si nous ne sommes pas des êtres-vivant animés que sommes nous? Des plantes, des robots animés (comme par exemple Bender dans Futurama)? Après il est vrai que nous sommes des animaux très différents des autres, nous n'avons pas évoluer de la même façon, nous n'agissons pas pareil, (dans "Le bon gros géant" de Roald Dalh celui-ci dit à la petite fille que les humains sont les seules sur la planète à s'entretuer), nous nous considérons supérieurs... Après en décidant d'introduire ce chapitre j'ai décidé quand même de faire des recherches, j'ai trouver par exemple des réponses sur le site https://www.universalis.fr/encyclopedie/animal/1-l-usage-du-mot-animal-s-impose-a-la-renaissance/ dont je n'ai copier-coller que l'introduction (vous irez lire la suite si vous le souhaitez):
"Le mot animal vient du latin animalis, -is qui désigne un être vivant mobile, et qui dérive d'anima, souffle ou air, un mot souvent traduit par âme. À l'époque romaine, on inclut généralement l'homme parmi les animaux. Au Moyen Âge, le mot animal est d'un usage plutôt rare et savant, et l'on utilise plus volontiers celui de bêtes (ou bestes), dérivant du latin bestia, par opposition à homo, dérivé de hominem, « homme ». Ce n'est qu'à la qu'« animal » remplace peu à peu « bête », bien qu'il ne désigne souvent que les animaux dits supérieurs, comme les et les grands , les autres animaux recevant diverses appellations génériques, comme poisson ou insecte.
À partir du xvie siècle, le mot animal voit son usage se répandre en même temps que l'on cherche à en préciser le sens. C'est à cette époque que les lettrés et savants européens s'engagent dans l'inventaire des et des animaux, en métropole comme dans les colonies, afin de rationaliser l'exploration et l'exploitation économique des ressources naturelles. Il est donc nécessaire de disposer d'un vocabulaire spécifique permettant l'identification claire des espèces recherchées pour leur valeur agricole, médicamenteuse, tinctoriale...
La définition d'animal est dès lors tributaire d'un système classificatoire qui englobe l'ensemble du monde naturel, et elle ne peut être comprise qu'au regard de celui-ci. Les savants s'attachent donc, dès le xviie siècle, à établir les caractéristiques propres des unités de cette classification, des plus grandes aux plus petites, en soulignant à chaque fois leurs différences."
Par la suite de mes recherches sur internet, j'ai aussi tenus compte de notre histoire par rapport aux animaux en lisant ce qui était écrit dans "https://lelephant-larevue.fr/dossiers/lhomme-et-lanimal-dans-lhistoire/":
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L'homme et l'animal dans l'histoire Le débat actuel sur la considération de l'animal par l'homme existe depuis l'Antiquité. Même s'il a sensiblement évolué. L e débat sur la relation que nous avons ou devrions avoir avec nos compagnons terrestres, les animaux, est d'actualité. Mais il n'est pas nouveau. Replongeons dans la vieille histoire de cette liaison. Dans la Bible déjà, Noé n'avait pas pris soin de protéger ses congénères, sinon sa famille, - mais avait en revanche embarqué un spécimen de chaque espèce animale dans son arche pour la sauver du Déluge. Aristote, dans son De anima (« De l'âme »), affirme qu'il existe une communauté d'êtres vivants dont les hommes et les bêtes font ensemble partie. Faut-il rappeler que la plupart des mythologies, même en nous limitant à la sphère européenne, comptent des représentants animaux, voire des divinités mi-hommes mi-bêtes ? Qu'enfin, concernant le monothéisme, le christianisme n'est pas en reste puisque Jésus naît parmi les humbles des humbles – les animaux de l'étable ? Très tôt, l'homme a réfléchi à cette intimité le liant à l'animal et s'est posé la question de son rapport à lui : l'animal, compagnon, esclave, outil ?
Il est certain que l'homme n'a pas toujours possédé le statut d'écrasante supériorité qui est le sien aujourd'hui, statut qui amène toujours plus de personnes à réclamer une évolution voire une révolution dans notre rapport à l'animal ; mais n'est-ce pas en demander beaucoup aux gènes humains, qui, on le sait désormais, conservent les traces de traumatismes, d'événements, de modes de vie passés, et parfois très anciens ? N'a-t-on pas conservé, au moins quelques-uns d'entre nous – ainsi de ceux dont on affirme, d'après leur physionomie, qu'ils ont quelque chose du Néandertalien –, un atavisme de l'époque où nous étions seulement capables de chasser et de cueillir, il y a trente ou quarante mille ans, lorsque notre vie était d'une précarité incomparablement plus grande qu'aujourd'hui ? Une vie humaine opposée à tous vents, aux aléas naturels et à une faune infiniment plus abondante et dangereuse : songeons aux vestiges attestant de la présence de mammouths, de bisons et autres tigres à dents de sabre en Europe – nous conviendrons aisément qu'en ces temps-là le rapport homme-animal était beaucoup plus équilibré, voire totalement déséquilibré au détriment de l'homme.
Ne peut-on pardonner à ce dernier d'avoir usé à plein, en raison de sa faiblesse, de la seule arme dont l'ait doté la nature – son cerveau, invisible au moment de la parade guerrière mais capable d'inventer des stratagèmes dans lesquels les animaux finissaient tous par tomber ? N'est-ce pas ce cerveau qui nous fait aujourd'hui réfléchir d'un point de vue philosophique, éthique, à notre relation aux animaux, qui nous en a le plus séparés originellement – quand bien même, pour remercier la nature du cadeau qui leur était fait, les chasseurs du Néolithique réalisaient des fresques pariétales qu'on peut admirer dans les répliques de grottes à Lascaux, Chauvet, Altamira (Espagne) ou Cresswell Crags (Angleterre) ? Certaines civilisations ont fait de cette rivalité avec l'animal un spectacle – il n'est que de citer les massacres de bêtes sauvages au Colisée de Rome. Mais on notera que les esclaves gladiateurs étaient à peine mieux considérés que les fauves destinés à l'arène. Le rapport à l'animal serait fonction de l'individu ou révélateur de la civilisation vécue. Taylorisme animalier au XXIe siècle contre esclavagisme à l'époque romaine ?"
En dernier j'ai regardé sur Wikipédia (et oui je n'allais pas regarder toutes les réponses consacrées à ma recherche, n'ayant pas le temps, mon travail d'étudiante et puis je continue d'apprendre des chansons en langue des signes, à noël dernier j'ai chanté "libérée délivrée" de la reine des neiges):
"Les Animaux (Animalia) (du « animé, vivant, animal ») sont en biologie, selon la , des , c'est-à-dire qui se nourrissent de . On réserve aujourd'hui le terme « animal » à des êtres complexes et , bien qu'on ait longtemps considéré les comme des animaux unicellulaires. Comme les autres êtres vivants, tout animal a des semblables avec qui il forme un groupe homogène, appelé .
Dans les modernes, le des animaux se nomme Animalia (création originale de en 1758, eu égard au (CINZ) ou encore Metazoa ( créé par en 1874). Quel que soit le terme employé ou quelle que soit la classification retenue ( ou ), les animaux sont consensuellement décrits comme des organismes pluricellulaires généralement mobiles et hétérotrophes.
Dans le langage courant, les termes « animal » ou « bête » sont souvent utilisés pour distinguer le reste du monde animal des . Le langage courant diffère également du biologique par le fait que « animal » renvoie souvent à une certaine taille qui exclut entre autres les insectes. Enfin, il peut être utilisé en opposition à « », terme qui regroupe les , les et les .
La science consacrée à l'étude du règne animal est la zoologie."
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bouleversement Naturel
ActionJe suis abonnée à pas mal d'associations naturelles dont je partage les échanges sur facebook et tweeter, mais les choses étant de plus en plus alarmante actuellement j'ai pensé également les transmettre sur Wattpad et j'ai décidé de créer ce livre...