Il y avait un oiseau, près du rocher.
Sur les vagues, les reflets opalins du soleil contre l'eau.
Je restai. Observateur d'un temps qui s'evaporait.
Je m'allaegeais des tourments.
Je repartais dans une ocelle, fluide et immortelle.
Sans début et sans fin, la vie n'avait plus de limite.
Je n'étais plus qu'ici, plus que là bas, dans ce vaste monde indisposé aux immarscecibles heures.
La terre est ronde, sans début, sans fin.
J'ai observé l'œuvre des écris, impérissables romans, et chants des temps. Source des âmes éternelles.Les nimbes sont autour, radieuses de leur lumière ocre, et leur indolence à nous aveugler, me rougit les yeux.
J'ai perdu le sens et le but, j'ai quitté le port, et les voiles vers l'avant je suis partis cueillir l'horizon.
Écume
_ Marie-Cécilia Berlion
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TEXTE - Le vent du printemps
PoetryRien que des mots, qui se brisent, s'éventrent, soufflent et s'éparpillent. Des songes; des mélanges fait d'ange et d'ombres lointaines. Et puis un rêve passe quelques fois, Ou une voix, qui revendique sa mélodie, son cri. C'est le naufrage des étoi...