Tympans ensanglantés.
La mémoire s'éveille.
Les souvenirs expirés,
transpirent à son oreille.
L'océan entre les
doigts, écoule
le bruit
des
V
0
i
x
.
L'âme fauve s'égare,
Dans le murmure de tes larmes.
Un visage, perce tes nuages,
Blond, les yeux bruns, la lèvre hurlante,
Il s'étend dans tes yeux,
Tel une traînée de feu.
Sa main se tend,
Brise le cours du temps.
Perlantes, scintillantes, le mercure de tes larmes, à l'agonie sur une plage sans mer, scient les bords de sa peau.
Telle une feuille tachée de phrases abîmées, de cœurs immolés, il se consume sous la morsure de tes maux.
L'ange est dans ce petit espace qui vous sépare.
Et meurt dans le souffle que vous échangez.
Ton ombre devient lumière.
Sa prière devient poussière.
Les brûlures s'endorment,
Lorsque les âmes sœurs se forment
Désormais la nuit se retourne
Vos rêves de nuits se confondent aux songes du jour.
Ciel blanc, ciel noir.
Qu'importe, dehors,
l'œil semble aveugle,
mais le cœur est
borgne.
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/ Hozier /
Work Song (cover) — Freya Ridings
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Nouveau poème, en prose, en vers, je ne sais plus, mais j'espère qu'il vous aura tout de même plu.
Je vous fais pleins de bisous, et n'hésitez pas à voter ou commenter, ça me fait toujours plaisir. 😊
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TEXTE - Le vent du printemps
PoésieRien que des mots, qui se brisent, s'éventrent, soufflent et s'éparpillent. Des songes; des mélanges fait d'ange et d'ombres lointaines. Et puis un rêve passe quelques fois, Ou une voix, qui revendique sa mélodie, son cri. C'est le naufrage des étoi...
