Rien que des mots, qui se brisent, s'éventrent, soufflent et s'éparpillent.
Des songes; des mélanges fait d'ange et d'ombres lointaines.
Et puis un rêve passe quelques fois,
Ou une voix, qui revendique sa mélodie, son cri.
C'est le naufrage des étoi...
Éclats pourpres sur une lèvre brillante, Les poumons se sèchent. Sa braise est silencieuse, se consume. Dans la pièce, une pluie des nuances, carmin au blanc.
Un corps s'assoit, La cendre d'une cigarette rougeoie. Le cœur bat en lui, ni sourire ni larme, En lui, un blanc d'étoile, mais pourtant la lumière s'échappe de son âme.
Et lemort-vivant suffoque contre le marbre.
Il bat d'un pied, regarde à la fenêtre La conscience s'est échappée, il regarde le corps troué, Qui a la poitrine arrêtée.
Mais lui, sa cendre flambe, anime l'incandescence de l'oxygène qui l'assaille, Aucun maux ne frappent sa carcasse. Sa violence est dans son indifférence. Sa mort est dans sa vie. Il échappe un soupir, ne cligne pas son regard contre l'ombre de cet homme. Une nouvelle branche s'est brisée sur l'arbre du monde.
Il jette le mégot, essuie ses mains sur un coussin. Son âme blanche s'en va derrière la porte. L'homme à la crinière écarlate ne bouge plus. Sa mort est sa dernière vie.
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