J'ai pleuré l'encre des nuits,
Et les étoiles sont restées sous mes yeux.
Des rêves ont crevés mes genoux,
Mes mains ont rougies le sol.Mercurochrome sur les paumes,
La morphine coule, et je plonge.Lèvres parfumées au whisky,
Pour un baiser,
J'ai enivré mon esprit.Rattraper ce qui était tombé.
Et tomber avec. Briser le verre plein,
Et finir à moitié vide.
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TEXTE - Le vent du printemps
PoesíaRien que des mots, qui se brisent, s'éventrent, soufflent et s'éparpillent. Des songes; des mélanges fait d'ange et d'ombres lointaines. Et puis un rêve passe quelques fois, Ou une voix, qui revendique sa mélodie, son cri. C'est le naufrage des étoi...