XXXV

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Bonjour, bonsoir. Voici un chapitre très très très très long.

Bonne lecture !

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Environ 2 mois plus tard.

Nous sommes en janvier et aujourd'hui, c'est l'anniversaire d'Isam. Durant ces deux derniers mois, quelques petites choses se sont passées. Isam s'est blessé à la jambe, je n'ai pas trop compris ce que c'était comme blessure exactement. De mon côté, je me suis vraiment rapprochée de Manzo, de façon amicale bien sûr. Il n'y a vraiment rien d'ambigu entre nous. Notre amitié a commencée de façon assez drôle.

               ~ FLASHBACK ~

J'ai accompagné Diego à son entraînement une fois de plus. Peut-être que comme ça je comprendrai un peu le football. Manzo est vraiment doué, enfin je crois. À un moment, il met un but et cours comme Naruto pour fêter sa victoire. Lors de leur pause je vais le voir.

Moi : Bravo ! Alors tu regardes Naruto ?

J'ai un sourire jusqu'aux oreilles.

Manzo : Évidemment. Tu regardes toi ?

Moi : Oui !

Manzo : Mh...tu regardes juste parce que tu crush sur les personnages, je suis sûr.

Moi : Oh les préjugés, je rêve. Juste parce que je suis une fille. Je regarde pas des animes pour ça.

Manzo : Pourquoi alors ?

Moi : Pour l'histoire, pour l'univers, pour les personnages et pas parce que je crush sur eux mais parce que j'aime leur personnalité, leur complexité et leur histoire. Et aussi parce que j'adore le japonais.

Il me sourit.

Manzo : D'accord. Je veux bien te croire. Et ça tombe bien, je suis japonais !

Il me montre toutes ses dents.

      
       ~ FIN DU FLASHBACK ~

Je me suis rendue compte que j'avais beaucoup de centres d'intérêt en commun avec lui. J'ai aussi sympathisé avec l'un de ses amis : Elyo. Il est dans mon lycée et fait du foot avec Diego et Manzo.

Pendant qu'Isam était blessé, ma mère m'a obligé à lui rendre visite. C'était pendant les vacances de Noël.

       
              ~ FLASHBACK ~

Ma mère m'a demandé d'amener quelque chose à manger à Isam. Sa mère n'est pas là et monsieur ne peut pas se faire à manger tout seul. Quand je me trouve devant la porte de son appartement avec mon plat dans les mains, il m'ouvre. Il est en béquilles. Il repart s'asseoir sur son fauteuil sans dire bonjour. Je pose le plat sur la table puis ferme la porte.

Isam : Tu comptes rester ?

Moi : J'ai pas vraiment le choix. Si je rentre directement ma mère va me faire une crise.

Je sers juste à ramener la bouffe quoi. Je m'assois sur le canapé pendant qu'il regarde la télé.

Moi : Tu manges pas ?

Isam : Si mais les assiettes sont dans la cuisine.

On se fixe pendant plusieurs secondes. C'est à moi d'aller lui chercher, en gros. Je soupire puis je me lève. Je reviens avec une assiette et des couverts que je pose sur la table.

Ismayah Où les histoires vivent. Découvrez maintenant