The " End" ou le départ d'un blocard

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Hey les canartichauts! Alors je voulais juste vous dire que la chapitre qui suit est l'avant dernier du PREMIER ( et ouais, et ouais, je suis partie pour faire la trilogie :') tome de ma fiction, je voulais vous remerciez pour les milles vues j'ai failli chialer en les voyant ça compte beaucoup pour moi donc merciiiiiii! :)

Cette révélation me fit un choc. La femme à la balle au cerveau était ma grand-mère ? Je n’osais pas y croire. Tout les blocards s’étaient retourné vers moi. Dans leurs yeux flottés la peur et la surprise. Ils avaient peur. De moi. Je n’osais y croire. Je suscité chez eux l’émotion la plus intrigante qui soit. Je me sentais puissante, forte. J’étais une tueuse en série ? Enfin une ancienne tueuse en série ? Ça expliquait ma folie et mes sautes d’humeurs. J’étais un monstre. Un monstre. Une tueuse en série. Tout s’expliqué. Mon caractère, mes reflexes, mes capacités au combat… J’avais tué des gens. Mais vraiment tuer. A vrai dire, tuer quelqu’un ne m’avait jamais parut horrible.

- Si elle est parmi vous, ne la haïssez pas. Elle ne se souvient de rien. Comme vous tous d’ailleurs.

Tout ce que dit la femme à la balle me passa au-dessus. Les autres blocards s’étaient tous retourné vers l’écran. Une main me frôla l’épaule, je tournai vivement la tête. Newt. Il ne me regardait pas. Son regard était fixé sur l’écran où parler Ava. Mais sa main chercher la mienne.

- Souvenez-vous. Wicked is good. Et la femme à la balle se pointa un revolver sur la tempe, et elle appuya. Tous les blocards détournèrent le regard. Mais pas moi. Cette femme avait quelques choses de fascinant. Et je voulais savoir quoi. Sans plus attendre, je me tournais vers son corps, à quelques mètres de moi, et m’avançai. Je suis un monstre. Je suis une tueuse en série. Je suis Marie Paige. En m’inclinant sur le corps de ma soit disant grand-mère, je remarquée que ses pupilles étaient dilatées. Elle n ‘était pas morte. Elle faisait semblant. D’un seul coup, elle me fit un clin d-œil. Elle voulait que je la ferme apparemment. Cette femme était douée. Sans aucun doute.

- Cabot, tu viens ? Me fit la voix de Thomas. Il ne m’en voulait pas ?

-… Vous ne m’en voulez pas ? Vous n’avez pas peur de moi ? Demandai-je en me retournant.

Carrément tu veux dire ! Rien que l’idée que tu puisses nous sauter à la gorge dans une seconde me fait presque pisser dans mon slip ! Mais comme à dit Newt lorsque Thomas s’est réveillé de son auto piqure, on s’en fout du passé, ce qui importe c’est le présent. Me fit Chuck, en souriant. J’écarquillai les yeux. Les blocards n’étaient plus mes amis, mais ma famille.

- Bon ben… Okay. Je m’avançai vers eux timidement. Je faisais tâche. Ils étaient couverts de blessures et moi on aurait dit que je sortais d’une machine à laver grand format. Newt entoura mes épaules avec son bras. C’était mignon. Il voulait me protéger. Désolé tocard, mais vu mon passé, c’est plutôt à moi de le protéger. Chuck demanda à Thomas ce que l’on faisait maintenant. Thomas lui répondit qu’on allait sortir dehors, et reconstruire nos vies. Mais une voix familière nous appela. Je me retournais et vit Gally. Il n’avait pas l’air dans son assiette. Vive les piqûres de griffeurs. Il respirer fort. Et il avait un flingue. Merde. Tous les blocards et moi on se serra les un contre les autres. Newt me tenait la main et la serrait fort. Il avait peur. Je dégainais discrètement mon sabre. Le regard de Gally croisa le mien.

- Cabot ?! T’es pas morte ? Demanda-t-il.

- Heu…Non… Il semblerait que non vu que je suis la devant toi. Fis-je, le sourire aux lèvres, gênée. Gally détourne son regard du mien et se concentra sur Thomas. Il dit que si nous étions ici, c’était la faute de Thomas, qu’il était un espion. Newt serra plus fort ma main. Gally continua son discours, Thomas  se trouvait devant moi. Il allait me gêner, je ne pourrai pas tuer Gally avec lui devant. Je tapais doucement le dos Thomas. Il se retourna, je lui fis signe de se décaler de quelques centimètres. Il s’exécuta discrètement. Teresa essayait de raisonner Gally, en vain. Ce tocard était aussi têtu qu’une mule. Thomas s’y mis aussi. Sans résultats. Puis Gally brandit un poignard. Il visa Thomas, et le lança, je réagis au quart de tour. D’un geste, je franchis la distance entre moi et Gally et lui planté mon sabre dans le ventre. L’incompréhension brillait dans ses yeux. Je me retournais vivement. Thomas n’avait rien. Chuck se tenait devant lui. Le poignard planté dans le torse. Il avait les yeux grands-ouverts. Il s’écroula au sol. Thomas s’agenouilla aux côtés de Chuck et le secoua. Je rejoins Newt, qui avait les yeux écarquillés. Il ne pouvait pas y croire. Moi non plus d’ailleurs. Chuck étaitpour nous tous un petit-frère. Il ne pouvait pas mourir. Je pris Chuck par les épaules, et le regardais droit dans les yeux.

- Ecoute-moi bien bonhomme. Soit fort. On se retrouvera un jour. Il ne faut pas avoir peur.

Il était en train de partir. De suivre la lumière blanche. Des larmes coulèrent des yeux de Thomas. De Teresa. Newt aussi laissa échapper quelques larmes. Aucune ne coula de mes yeux. J’en étais incapable. Au fond de moi je savais que Chuck aurait pas voulut qu’on s’apitoie sur son putain de sort. Il aurait voulut qu’on avance et qu’on aille botter le cul à ces putains de créateurs. Chuck était à partir de maintenant un héros. Un « soldat ». Je pris la main de Newt, pour le réconfortait. Il n’y tînt plus et se réfugia dans mes bras. Il ne pleurait pas vraiment. Mais la tristesse était la. Je lui tapotais affectueusement le dos. Puis soudainement, tel des ninjas, des hommes surgirent avec des armes. Je lâchais Newt et dégainais mon sabre. Lui d’eux me pointa son arme sur torse et me hurla de me mettre à genoux. Je m’exécutai.

- Maintenant, dis moi tu étais pendant toutes ces années Chien Fou ! Me hurla-t-il au visage. Merde. Il savait qui j’étais ? L’avis de recherche daté de longtemps pourtant... Ce putain de relooking servait peut-être à ça.

- Heu… Dans ton cul peut-être ? Il me frappa avec son arme. Je vis les blocards être évacués. Ils allaient sûrement être mit en sureté. Tant mieux. Ce connard d’homme en noir allait sûrement me butter à cause de mon passé. Je fermais les yeux. Attendant mon heure. Mais elle ne vînt pas. L’homme m’aida à me relever et m’ordonna de suivre les autres. Je m’exécutai. En sortant dehors, le soleil me brûla les yeux. Je m’écroulai au sol, à genoux. L’homme en noir m’ordonna de me relever. Je ne pouvais pas. Mes yeux… Ils me brûlaient. Finalement, l’homme me prit dans ses bras et me transporta jusqu’à ce qui semblait être un hélicoptère. Il me déposa à côté de Newt. Mon visage se trouvait toujours entre mes mains. La douleur avait un peu disparue. Newt me prit dans ses bras. Je n’osais pas ôter mon visage de mes mains.

- Cabot…ça va ? Me demanda Minho, inquiet.

- ça peut aller. J’ai mal aux yeux, la lumière m’a aveuglé. Fis-je, en chuchotant. Newt me caressa affectueusement les cheveux.

Quelques minutes après que l’hélicoptère se soit envolé, je pus enfin ouvrir les yeux. Je voyais encore. Tant mieux.

- Alors, qu’as-tu fais pendant toutes ces années Chien Fou ? Me demanda un homme, assit en face.

- Rien. J’étais coincé avec ces tocards, qui sont maintenant mes amis. Je ne suis plus le chien fou. Je suis Cabot.

Et l’hélicoptère continua son chemin, le soleil se couchait.

Murderess[TMR fanfic]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant