Murderess[TMR fanfic]

Les tatouages ou rien comprendre aux mystères

Thomas et Jorge choisirent ce moment pour revenir, Jorge avait l’air de s’être calmer. Thomas avait du galérer. Ils s’avancèrent vers nous, Jorge se tourna vers ses camarades et il commença à leur parler mais trop bas pour que j’entende. Thomas se pencha vers nous et nous avoua que lui Jorge avaient passé un accord, lui et une de ses amies nous accompagnés jusqu’au refuge et en échange on leur refilé des remèdes. J’écarquille les yeux. Il va falloir que je supporte Jorge avec sa haine envers moi  pendant toute la traversée jusqu’à ce qu’on soit arrivé là où Thomas avait nommé le refuge ? Va falloir m’attacher alors. Minho dressa la tête en voyant Jorge. Le pauvre Minho avait certainement peur du châtiment que Jorge lui réservait après qu’il se soit emporté. Jorge se tourna vers nous, l’un de ses camarades fondus prit la parole :

- Tu réserves quels châtiments au con avec les yeux bridés qui t’a attaqué ? Je dressé la tête. Si Jorge touchait à un seul cheveu de Minho,  il allait souffrir.  Pendant mon séjour au wicked, j’ai pu prendre pas mal de leçon de torture.

- Je vais lui couper la main. Fit Jorge, d’un ton décontracté. J’écarquillai les yeux. Oh merde. Minho devînt blanc comme un linge, le pauvre. Jorge plaisantait, enfin, j’espérais qu’il plaisantait.  Mais d’abord allons manger.

Mon ventre lui répondit en poussant un horrible gargouillement, les blocards et les fondus me regardèrent avec des yeux ronds.

- Bah quoi ? Même les meurtriers ont faim hein. Tout le monde me sourit, même les fondus. Ce qui relevait du miracle.

- Bon suivez moi que je vous file à mangez. Nous dit Jorge, avant de sortir du bâtiment. J’avais oublié de rengainer mon sabre, je le tenais toujours à la main, tous les fondus m’évitaient. Newt passa à côté de moi, et me tapa gentiment les fesses, j’écarquillai les yeux.

- Goujat ! Fis-je, à moitié morte de rire.

-  Fallait pas le mettre sous mon nez tocarde !

- Et mais j’y suis pour rien moi ! Il m’entoura de ses bras et me força à suivre le groupe en me poussant gentiment.  Tu sais qu’on a l’air ridicule Newt ?

- J’en suis conscient Cabot et je m’en fous comme de mon premier boulot.

- Ouh la la Newt se rebelle ! Dis-je d’un ton sarcastique. Il me mordit gentiment le cou, se qui me fit frissonner.

Jorge nous conduisait vers une sorte d’usine, il y avait plein de graffitis sur les murs, elle était grande en hauteur mais pas en largeur. Cette usine me fascinait, je me sentais attirée par elle. Fallait vraiment que je consulte.

- Vous mangez dans cette usine ? Demanda Thomas, curieux. La fille aux cheveux foncés se tenait à côté de lui. Elle n’arrêtait pas de le coller en fait. Le pauvre.

- Dans le temps où la braise et les éruptions solaires étaient juste de la fiction, on faisait des boîtes de conserves dans cette usine, puis il a fallu abandonner, alors du coup il en reste pas mal. A force c’est chiant de bouffer des boîtes de conserve mais on fait avec.

- Je suis sur que les boîtes de conserve sont meilleures que la bouffe de Poêle A Frire ! Dis-je, d’un air décontractée. Newt me lança un regard qui voulait dire qu’il fallait que je ferme ou sinon j’allais me faire butter.

Une fois arrivé dans l’usine, j’eus vraiment du mal à ne pas me jeter sur la nourriture. J’avais extrêmement faim, j’avais l’impression que j’allais tout détruire sur mon chemin si on ne me donnait pas à manger. Jorge me tendis une boite de conserve contenant des lentilles et une saucisse, il me tendit ensuite des couverts. Je les pris et commençai à manger à toute vitesse.

- Et du calme hein ! On ne va pas te les voler tocarde. Me fit Minho en s’asseyant à côté de moi. Je fronçai les sourcils. Pourquoi Minho se mettait à côté de moi ?

- J’ai faim. Je mange vite. Fis-je, la bouche pleine de lentilles. Minho me fixai du regard, ça devenait gênant. Je tournai mon regard vers Newt, il se tenait debout, il parlait avec Jorge. Ils s’entendaient plutôt bien tous els deux apparemment. Faudra que je demande à Newt de dire à Jorge que je suis gentille, ce tocard arrête pas de me lancer des pics ans raison.

- ça va sinon ? Me demanda Minho.

- Heu…Oui pourquoi tu me demandes ça ?

- Peut-être parce que t’as découvert y a quelques jours que t’étais une ancienne tueuse en série, pis ensuite y a ton ami qu’est, puis on t’a kidnappé et torturer.

- Ah ouais… J’avais oublié.

- Comment tu peux oublier tout ce qu’il se passe autour de nous Cabot ?

- Je ne sais pas… Je pars. Je m’envole loin de tout ça, dans un lieu ou j’ai plein de rejetons avec Newt, où t’es tonton Minho, où Thomas fait le con avec Chuck et où Teresa frappe affectueusement mes gosses avec des patates. Minho ricana.

- T’es vraiment tordue Marie.

- T’es plus obligé de m’appeler Marie tu sais. Marie est la petite-fille d’Ava Paige et la tueuse en série qui a terrifié la population. Moi c’est Cabot, la fille qui grogne et qui a des sautes d’humeurs. Marie Paige n’existe plus. Je suis Cabot.

Une brûlure se éveilla dans ma nuque, je lâchai un petit cri, Minho me regarda, inquiet.

- ça va ?

- J’ai senti une brûlure dans ma nuque.

- Montre. Je soulevai mes cheveux pour que Minho voit ma nuque. Il resta stupéfait.

- Oh merde…

- Quoi ?! Fis-je, inquiète.

- T’as un tatouage. Comme nous.

- Montre. Minho se baissa pour que je puisse voir sa nuque. Effectivement, un tatouage y était, dessus était marqué :

Propriety Of Wicked

Groupe A

Subject A7

The Leader

- Le chef ? Fis-je d’un moqueur.

- Ouais. Le chef… Me répondit-il, fièrement.

- C’est marqué quoi sur le mien steuplait ?

- Heu… Minho plissa les yeux. Tous les blocards ‘étaient amassé autour de nous deux, Newt avait l’air inquiet. Il articula silencieusement : Qu’est-ce qu’il se passe ? Je lui répondis tout aussi silencieusement : J’ai un tatouage. Newt acquiesça.

 

Groupe A

Subject13 (Lie)

Marie Paige/ Cabot

The Killer

100 000 000 $

- The Killer ? Lie ?! 100 000 000$ ?! Mais c’est quoi ce bordel ?! Cria Jorge énervé. Une explosion retentit, les murs se mirent à trembler et à tomber, Je fus vite séparer de Newt, il tenta en vain de m’attraper, de m’attirer contre lui pour me protéger, mais en vain.

- Newt ! Newt… Je fus happé par le souffle de l’explosion, qui me propulsa contre un mur, je sentis ma nuque se brisé en milles morceaux, les ténèbres me recouvrirent, la dernière phrase que j’entendis fut Minho et Newt qui hurlaient en chœur : Caboooooooot Trop tard. Je suis partie.