- Mlle Marie, veuillez me suivre. Me fit une femme, blonde, en tenue d’infirmière. Elle portait un chignon sur le côté et elle avait des airs de poupée de porcelaine.
Je m’exécutai, mes pieds trainaient au sol, ma tête était penché vers l’avant. J’aurai tellement aimée me jeter sur elle et la tuer. Mais je suis trop faible pour le moment.
On s’arrêta devant une douche. Je n’eu rien à faire l’infirmière me déshabille, me lava sans prononcer un mot. On passa ensuite aux cheveux. Elle me fit m’asseoir, puis elle sortit des pansements de la poche. Elle m’en mit une dizaine sur le corps, sur les bras, les jambes, le ventre, le visage. Elle prit ensuite des ciseaux, et prit le temps de me peigner et couper les cheveux. Je les voyais tomber au sol. Ils n’étaient plus blonds, ils avaient virés au brun. Comment cela était-il possible ?
- Je vous est teint les cheveux. Me fit l’infirmière.
- Pourquoi ? Fis-je d’une voix sombre, lugubre.
- La où vous allez, il y a des milliers d’avis de recherche vous concernant. J’essaye de vous facilitez un peu la vie, elle n’est jamais simple.
-Merci.
- Dites moi, ce garçon, chétif et grand, vous l’aimez vraiment ?
- Oui. J’ai besoin de le protéger. Je l’aime.
- Mais… Vous êtes capable d’aimer ? Me demanda-telle, d’une voix hésitante.
- Oui. Je suis peut-être le Chien Fou, mais même quand vous êtes un tueur vous aimez les gens. Vous les gens normaux, vous nous considérer comme des êtres anormaux, étranges, dangereux. Je ne suis rien de tout ça, à part dangereuse. L’infirmière me sourit, puis continua de me couper les cheveux. Elle me proposa ensuite de soigner mon bras cassé. J’acquiesçais vivement. Elle me sourit puis fouilla dans la trousse qui se trouvait à côté d’elle. Elle en sortit une seringue. Une grosse seringue. Je méfiai des seringues maintenant. Un grognement s’échappa de ma bouche. L’infirmière sursauta. Elle n’était pas habituée à mes grognements.
- Ne t’inquiète pas Marie. Cette seringue contient un stimulateur de guérison. Le temps de guérison de ton bras va être divisé par 10 minimums, d’ici à peine une heure tu n’auras plus mal. Je me décontractais. Tout allez bien pour le moment. Pas de coups fourrés à l’horizon. Je me sentais bien. La seringue se planta dans mon bras blessé, un cri sortit de mes lèvres. L’infirmière me rassura. C’était la première à être gentille avec moi.
La douleur se fit moins envahissante. Je me sentais mieux.
- Bon et bien maintenant suis moi Marie, je vais t’emmener voir tes tenues.
- Mes tenues ? Pour quoi faire ? Demandai-je en fronçant les sourcils.
- Tu es l’un des sujets les plus prometteurs et importants de l’expérience. La chancelière tient à ce que vous ayez une tenue adaptée au second test.
- Mon cul oui. Vous pouvez vous foutre vos tenues dans le cul, je n’en veux pas.
L’infirmière me fit les gros yeux, je lui tirée la langue en seule réponse. Personne ne me dictera ma vie, comment je dois m’habiller. Je suis libre.
- Bon. C’est bien parce que vous venez avec moi. Fis-je en grognant. L’idée de servir de mannequin ne me plaisait pas. Mes camarades blocards étaient peut-être en train de se battre, et moi, je me la coulais un peu douce au Wicked. J’étais vraiment un monstre.
La pièce où m’emmena l’infirmière était très grande. Une dizaine d’habits en tout genre étaient étalé sur un canapé, à côté d’une table en verre.
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Murderess[TMR fanfic]
FanficThe Maze Runner: Le jour où Marie se réveille dans une boîte en métal, sans aucun souvenir, marque la fin de son passé, et le début de son avenir. Elle débarque au bloc sans grande discrétion, et se fait très vite des amis. Mais un problème persist...