Murderess[TMR fanfic]

La discrétion ou être à deux doigt de LE faire

Oh merde. Encore cette voix. Ava en a pas marre de me faire chier ? Je lui ai rien fais moi. Ah si. Je ressemble trop à sa fille il semblerait. Sa fille, donc ma mère. Ma mère, tuée par mon père, fondu en stade qui été inconnu jusque la. La folie contrôlée. Super. C’est moi qui ai payée les frais. Moi et ma mère. Enfin si on se fit à Ava. J’adore ma vie. Franchement, je ne voudrai pas être autre part. Non. En vrai je rêverai d’avoir été tué par le griffeur, la nuit où il m’a emmené au Wicked. Je n’aurai pas eu à découvrir cette affreuse vérité. La vérité sur ma vie.

Nous somme nées malades. 

Allez-vous faire foutre Ava de mon cul ! Criai-je dans ma tête.

Je ne suis pas Ava. Je suis toi. La partie sombre, qui se cache depuis ton réveil dans la boîte. Tu dois me craindre. Je suis la Chien Fou. Et j’ai besoin de ton aide camarade.

Je t’emmerde. Tu ne peux pas me dire ça plus tard ? Quand on aura quitté la ville par exemple. Et puis va te foutre, je ne te craindrai pas. Tu es moi, et je suis toi. Le Chien Fou ne me donna pas de réponse, elle se tut. Minho arriva vers moi et s’assit à côté de moi, lui aussi en avait marre des putains de règles. Il posa sa main sur la mienne, ce qui me perturba. A quoi joué Minho ? Depuis qu’on s’était retrouvé, il avait changé de comportement avec moi. Il me perturbait. Et je détestais être perturbé. Quand Jorge eu finit d’expliquer ses règles dont tout le monde s’en foutait mais était resté par respect. Newt fit une drôle de tête quand il vit la main de Minho sur la mienne. De la jalousie ?

Probablement. Je l’aime bien moi Minho. Il est déjà mieux que Newt. Newt est faible.

Je t’interdis de dire ça. Écoute-moi bien putain de Chien Fou. Toi et moi on est la même personne. Alor il va falloir que tu fermes ta gueule et que tu acceptes que Newt « nous » embrasse, «  nous » fasses des câlins et d’autres trucs que font les personnes amoureuses. Minho est certes, canon et sympa, mais il reste un ami. Newt est celui-ci qui a toujours été la pour moi, il ne m’en a jamais voulu pour mes actes au bloc, il m’accepte comme je suis. Il n’est pas faible. Il est au contraire courageux. Nous sommes tous courageux. Courageux d’avoir affronté les griffeurs, courageux d’être sorti de ce putain de bloc, courageux d’avoir affronté ces putains d’épreuves. Alors je t’interdis de dire que Newt est faible. Si Newt est faible, alors je suis faible aussi.

- ça va Chien Fou ? Demanda Jorge.

- Très bien. Lui répondis-je sèchement. Et arrête de m’appeler Chien Fou, on va rester pas mal de temps ensemble toi et moi alors t’as intérêt à m’appeler Cabot.

- T’es sympa en fait. Me lâche-t-il à la gueule.

- Qui a dis que je l’étais pas ? Tu connais la Cabot d’avant, celle qui tuée des gens, mais tu ne connais pas la Cabot amnésique. Newt me tendit la main, je l’accepté et elle me propulsa debout, chaque binôme partit de son côté, très vite Newt et moi nous retrouvâmes seuls. Il me regarda puis fit un geste bizarre avec ses sourcils, ce geste avait les mêmes sous-entendus que son affirmation de tout à l’heure. Il m’attira contre lui et approcha ses lèvres des miennes, je le repoussai.

- Non Newt. On doit retrouver Thomas et Brenda. Crois moi j’en ai très envie aussi mais non. Newt me regarda, ouvrit la bouche et la referma.

- Même pas un câlin ? Me dit-il.

- Bon si un câlin sa passe. Fis-je, en souriant. Newt eu juste à ouvrir ses bras pour que je m’y jette dedans. J’adorai l’odeur qu’il dégageait. Il sentait le sable chaud et l’herbe fraiche. Pas celle après la pluie, celle après la rosée du matin en été. Il passa sa main dans mes cheveux puis les ébouriffa affectueusement.