30

1.5K 84 0
                                    







Je cogitais dans le lit depuis que James était parti. Il avait réussi je ne sais pas quoi, mais le fait est que je me sentais mal maintenant. Je me dandine dans le lit et me tourne vers Klara qui dormait toujours paisiblement.
Je me redresse à mon tour et regarde vers la porte de la salle de bain où j'entendais l'eau s'écouler.
Je me lève m'assoit sur le lit avant de me décider a le rejoindre.
Lorsque j'enclenche la poignée celle-ci n'était pas verrouillée. Je rentre doucement alors qu'il se retournait vers moi là silhouette musclé dégoulinant d'eau, je baisse les yeux vers son membre dressé puis remonte rapidement vers ses yeux.
Les mains croisés dans le dos je verrouille la porte puis retire mon haut en deux trois mouvements de même pour mon short puis me dirige vers lui sans perdre le contact.
Lorsque l'eau commence a me mouiller je passe une main dans mes cheveux pour les dégager de mon visage puis me rapproche de lui. Je relève la tête et pose mes mains sur sa poitrine.

J'halète quand il me pince les fesses à deux mains et me soulève simplement en l'air comme si je ne pesait rien. J'ai eut à peine le temps d'admirer cette silhouette divine avant qu'il ne se referme sur ses lèvres et que sa langue affronte pratiquement la sienne. Je m'accroche à lui, mon cœur battant alors que je m'agrippai a ses énormes biceps, sentant ses muscles onduler en dessous.

Mon Dieu, pensais je alors que sa langue violait complètement ma bouche, ma propre langue s'abandonnant docilement alors que la sienne tourbillonnait autour de la mienne. Et puis ses mains toujours sur mes fesses, se sont serrées et je gémis à nouveau dans sa bouche.
Il me donne une légère tape sur mes fesses avant de retirer sa bouche de la mienne. J'halète devant l'intensité de son baiser et la manière abrupte dont il l'avait coupé. Je lève les bras dégage nos cheveux sur nos visages lui souriant.

Et puis je gémis à nouveau en le sentant sucer brièvement mon mamelon, avant de me pousser encore plus haut contre le mur. Puis soudain je le sens me soulever plus haut de sorte à ce que mes jambes soient drapées sur ses épaules, son visage juste entre mes cuisses, je savais exactement ce qu'il voulait faire ce qui me faisait encore plus mouillé.

- Ça va ? Demande t'il

Je frissonna à sa voix rauque à proximité de mon entrejambe excitée.

Je secoue de la tête en répétant que oui.

- Je pourrais faire ça pendant des heures. Je frissonne à nouveau. Malheureusement,continue t'il de la même voix intense, Je vais devoir accélérer ça.

Et puis, sans avertissement, il plongea en moi. Je laisse échapper un couinement alors qu'il claquait juste sa langue dans mes partis, il se recroquevillait comme s'il cherchait quelque chose d'important. Je gémit au plafond, mon dos toujours soutenu par le mur alors que sa langue creusait autour de mes entrailles et puis soudain plus rien.... je n'arrivais plus a prononcer un seul mot.

Je restais bouche bée devant la tête de James j'attrape ses cheveux noirs en désordre juste enfouis dans mes cuisses. On aurait dit qu'il lapait avidement un bonbon, ses mains saisissant mes fesses et... et c'était incroyable. Et c'est à ce moment-là que sa langue a commencé à vibrer.

J'enroule mes doigts dans ses cheveux en bataille et me tord de plaisir, mes yeux se fermèrent et je sentis quelque chose d'incroyable s'accumuler, tout mon corps se contracte, je frissonnait et tremblait.

Oh mon Dieu, pensais je alors que ma vision se brouillait et que je me penchait en avant du mur, mes doigts s'enfonçant dans son crâne. Je n'en pouvais plus. Je..il devais arrêter.

- Ah ! Criais je, les larmes aux yeux. Je ne savais même pas qu'un tel plaisir existait.

James me fait lentement descendre, sous son regard j'haletait toujours me retenant contre ses bras. Je n'arrivais plus a tenir debout. Je me tortillait d'avant en arrière et pour la première fois je n'arrivais pas à soutenir son regard après un moment comme celui-ci. Malgré moi, j'ouvre les yeux et tout ce que je vit fut de l'admiration et de la crainte.

𝐋𝐀𝐍𝐀 𝐀𝐔𝐒𝐓𝐄𝐍Où les histoires vivent. Découvrez maintenant