Entre un chirurgien et une félidée (Tome 1) [terminé]

Chapitre 39 / Matinée perverse, jaguar et intrus

Hello tout le monde, j'espère que vous allez bien.

Bonne lecture !

- Je veux le manger... Même s'il est empoisonné, je te dis, la licorne. dit Mirai dans son sommeil

Law lui mordilla la poitrine.

- Tu parles trop fort...

Elle ouvrit brusquement les yeux avant de sursauter.

- Pervers !
- Tu parles dans ton sommeil... tu m'as réveillé.
- Toi aussi, tu m'as réveillée. Tu ne voulais quand même pas me manger !?

Il lui lécha ses traces de dents.

- Et si je veux te manger, qu'est-ce que ça fait ? Tu veux bien manger des choses empoisonnées, toi.

Elle frémit à son contact et l'observa sans rien dire. Son esprit commençait à être mal placé.

Il sourit en coin.

- Tu veux que je continue ?
- Hein ? P... Pervers !

Il rit et laissa sa tête reposer sur les seins de Mirai.

- Bah quoi ?

Elle passa doucement sa main dans ses cheveux.

- Tu n'es qu'un pervers, un pervers que j'aime par-dessus tout.

Il sourit et remonta pour l'embrasser.

- Moi aussi, je t'aime.

Elle l'embrassa en retour.

- Au... Au fait... Je... J'aimerais que tu continues. dit-elle gênée et avec quelques rougeurs aux joues.

Son sourire s'élargit et il recommença à passer sa langue sur ses seins. Il passa en même temps ses mains sur ses hanches.
Elle, soupirait sous son contact qui l'électrisait gentiment.

Il continua. Il avait bougé sous les draps pour être mieux placé sur elle. Il commençait à être excité par ces touchers. Elle, avait commencé à caresser son torse tatoué et musclé. Son âme un peu perverse aimait ça.

Il lui retira son t-shirt de nuit pour mieux avoir sa peau contre la sienne.

Elle continuait de soupirer sous ses différents contacts. Elle frémissait aussi légèrement, tout dépendait où il la touchait puisqu'elle était sensible.

- J'aime te sentir frissonner sous mes mains, lui dit-il avant de s'attaquer à sa clavicule.

Elle soupira une énième fois avant de lui répondre, en passant doucement sa main dans ses cheveux.

- Je suis sensible.
- Oui, mais rien n'égalera ce point-là, dit-il en lui titillant le clitoris du majeur.

Elle poussa un gémissement de plaisir. Il sourit de cet effet et continua tandis que ses gémissements étaient en train de s'amplifier peu à peu.

Il s'arrêta quand même pour lui retirer son slip et le caleçon qu'il portait. A force de la stimuler et de se faire stimuler, il était bien dur.

Puisqu'il avait arrêté ce qu'il faisait, elle se redressa un peu pour l'embrasser. Il l'embrassa en retour et l'étreignit avec passion. Elle lui rendit son étreinte, avec un léger sourire.

Ce moment plus tendre passé, il la coucha délicatement sur le lit. Elle avait gardé son léger sourire et caressait gentiment ses cheveux. Elle aimait toujours autant les toucher et la sentir passer sa main ainsi entre ses mèches le faisait frissonner. Il l'embrassa encore une fois tout en lui caressant les cuisses.
Elle se remise à frémir légèrement sous son contact.