Entre un chirurgien et une félidée (Tome 1) [terminé]

Chapitre 52 / Nouvel an

Hello tout le monde, j'espère que vous allez bien.

Bonne lecture !

Mirai était bien contente de passer du temps avec Law, alors que de plus en plus de stands ouvraient, au fil de la matinée.
D'ici la fin d'après-midi, tous seraient ouverts.

Law suivit Mirai en observant les stands. Il la retint quelques fois lorsqu'elle voulut prendre des rues n'en comprenant pas. Il n'avait pas un mauvais sens de l'orientation mais ne voulait pas risquer de se perdre pour autant.
Elle finit par s'arrêter et se tourner vers lui.

- J'ai faim.
- Encore ? Pourtant tu as grignoté quelque chose à chaque stade de nourriture sur notre passage.
- C'était juste pour goûter ce qu'ils faisaient.

Law rit et lui caressa la tête.

- Tu as vraiment un ventre à patte.
- Tant qu'il ne te dérange pas.

Elle détourna légèrement le regard.

- ... Les gens qui jugent sur ça, c'est pas cool...
- Je ne vois pas pourquoi ça me dérangerait.

Il reprit sa main et lui sourit.

- Allez, allons trouver de quoi te remplir le ventre.

Elle lui sourit tel une D.

- Je suis bien d'accord ! s'exclama-t-elle.

Il la laissa guider leurs pas. Il imaginait bien qu'elle avait le flair pour trouver ce qu'elle voulait manger.
Et ce fut bien le cas. Ils avaient quitté la rue principale pour se retrouver dans une rue plus calme, puisqu'il n'y avait pas de stands.

Pour Mirai, ça lui semblait parfait, elle qui voulait un peu de tranquillité après la certaine agitation qui régnait dans la rue principale ainsi qu'au centre-ville.

- On peut aller là. dit-elle en pointant la terrasse d'un petit restaurant.
- Je te suis, lui sourit-il.

Elle lui rendit son sourire et alla donc s'installer sur la terrasse.
Ils furent assez vite servis et partagèrent un bon repas.

- Est-ce qu'on devait retrouver ta famille ce soir ? lui demanda Law, cherchant à visualiser leur programme.
- Ils ne m'ont rien dit, mais on les croisera sûrement.

Il hocha la tête.

- En attendant, autant se balader encore un peu.

Elle lui sourit.

- Oui.

Après avoir payé, ils avaient donc continué leur promenade.

Mirai avait finalement voulu retourner au Polar, pour se rechanger. Son père lui avait donné une robe de polka, appartenant à sa femme, qui avait été originaire de Dressrosa.
Lorsqu'elle fut prête, Mirai s'observa sous toutes les coutures.

- Cette robe te va très bien, lui sourit son amant en la voyant faire.

Elle lui rendit son sourire.

- Elle appartenait à ma mère. Elle était une habitante et aussi danseuse de flamenco, à Dressrosa. D'un côté... Je me dis que je suis une enfant de là-bas, du coup.
- Probablement, lui sourit le pirate en alla la prendre dans ses bras.

Elle lui rendit son étreinte.

- J'aime bien quand je suis proche de toi, comme ça. Je me sens en sécurité.
- Je suis content de l'apprendre, ma chérie.