Chapitre 29...

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* PDV  de Lorenzo * 
Les bonnes nouvelles pleuvent et Marco qui a fait une énorme boucherie a fait quelques allers retour pour aussi nous prêter mains fortes, il voulait discuter avec moi du plan que j'avais pour Florence et finalement nous avons mis plus de temps que prévu. Je suis finalement allé avec Marco car avec le peu d'homme qu'il avait nous devions faire front ensemble avec en plus le père de Tanya ainsi que quelques uns de ses hommes pour que rien ne réapparaisse.

Nous sommes finalement de retour après une semaine à New York pour enfin allée la chercher, la fin du gang Stidda fait du bruit et je sais que l'on doit se dépêcher d'aller sur cette île si on ne veut pas qu'ils disparaissent autre part. Marco nous suit préférant en finir une bonne fois pour toute avec cette partie de notre vie, bien que je le vois ailleurs à cause de je suppose du temps qu'il est resté aussi loin de chez lui et je n'insiste pas car il faut absolument que je reste concentré. 

Le but maintenant est simple encerclé l'île pour que personne ne sorte mais surtout tuer tout le monde afin que ce clan ne puisse plus jamais resurgir. Après tout ce grabuge que nous avons fait cela doit surement être la panique là bas, nous sommes prêt a partir et au moins nous sommes nombreux contrairement à eux. Un de mes hommes est partit en repérage et nous connaissons les points stratégiques ou accoster. 

- Patron il faut aussi que vous pensiez à l'éventualité qu'elle ne soit pas autant en forme que lorsqu'elle vous a quitté. Cela fait une semaine qu'elle est entre les mains de Fabio Stidda et... 
- Ne dit pas un mot de plus ou je vais vraiment m'énerver !!

Je braque mon regard dans le sien et je peux y voir tout ce à quoi il peut penser mais je refuse de voir le pire pour le moment je refuse même de le faire. 

- Nous sommes prêts. 
- Alors nous partons. 

Plusieurs jets sont mis en place pour que tout le monde puisse venir à cette embuscade, nous allons atterrir sur l'île voisine et prendrons un bateau pour rejoindre le lieu ou elle se trouve. Assis l'un en face de l'autre nous nous regardons fixement dans les yeux sans dire un mot mais il coupe ce silence pesant. 

- Cela va être un carnage. 
- C'est fort possible. 
- Elle n'est peut être plus en un seul morceau. 
- Je le sais aussi mais je ne pense pas qu'il lui ai fait du mal. 

Fabio Stidda est complètement taré mais il voulait Tanya vivante, il l'a voulait pour femme depuis le jour ou il l'a rencontré à New-York. Quelque chose au fond de moi me fait penser qu'il ne lui fera aucun mal sévère mais vu comment est ma belle il est aussi possible qu'elle l'est mis en rogne et qu'il est disjoncté. 

- Tu sembles bien sur de toi ?? 
- Je le connais, je l'ai étudié, scanné en profondeur, suivit et compris. Je sais comment il fonctionne et il ne lui fera aucun mal, par contre il est assez manipulateur pour qu'elle soit en ce moment même folle a lié. 

Je n'espère juste pas qu'il ait pu la retourner contre moi en si peu de temps, il peut se passer bien des choses en une semaine. Le silence devient de nouveau pesant mais nécessaire pour que l'on se concentre pleinement sur notre objectif ce n'est qu'une fois à terre que l'on se prépare pour l'assaut. Paré d'arme de toute part on décide de se mettre en route en prenant un dernier moyen de transport, sur le bateau je garde le regard fixe sur l'horizon jusqu'à ce que l'île soit en visuelle. Je n'ai jamais été aussi impatient que de faire couler un peu de sang. Nous sommes repérer a peine un pied a terre de mis mais contrairement à ce que j'ai pensé seul trois hommes nous barre le chemin, mes hommes ne cherchent même pas à réfléchir et tire dans le tas pour éviter toute riposte possible.

Sur nos gardes quand au nombre tant diminuer de ce que l'on a pu voir en repérage nous avançons d'un bloc, Livio et Diego avec moi alors que le reste de nos hommes se dispersent pour trouver tout le monde. Je ne suis pas distrait pas le cri de femme ne reconnaissant pas la voix de Tanya et continue d'entrer dans la résidence principal, c'est au détour d'un couloir que je vois enfin une porte de chambre entrouverte. Préférant assurer mes arrières nous continuons dans un silence des plus glaçants avant que je ne pousse cette porte mais quand la vision de ce qu'il se passe me parvient je sens mes mâchoires se serrées. Ce n'est pas possible, je rêve ou quoi ?? 

Au coeur du dangerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant