Chapitre 17...

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* PDV de Lorenzo * 
- Tu m'as l'air bien énervé Lorenzo. 

Je relève les yeux de mon dossier pour les posés sur Livio les mâchoires toujours autant serrées, je n'ai pas encore digérer ce qu'elle a dit et cela me contrarie bien plus que je ne l'aurais cru. Pourtant elle a raison et c'est ça le pire...

- Cette femme te rends fou n'est ce pas ??
- Je ne vois pas de quoi tu parles Livio, je n'en ai que faire d'elle. 
- Ah oui ?? Tu es sur de toi ?? 
- Parfaitement un coup d'un soir rien de plus. 

Un sacré coup mais si elle ne veut rien de plus je n'ai pas à la forcée donc fin de l'histoire elle continue sa vie et moi la mienne, chacun de son côté. Je continue de trier mes papiers sans prendre en compte mon ami mais relève une deuxième fois la tête quand un de mes hommes en charge de mettre en règle sa maison entre dans mon bureau. 

- C'est terminé ??
- Oui patron, entre une a deux caméras par pièce et des micros un peu partout. Le brouilleur a été efficace nous avons pu tout retirer sans qu'il n'y ait d'enregistrement sinon des hommes auraient débarqués bien plus tôt. 
- C'est parfait alors et ou est ce qu'il y en avait ?? Même dans les pièces les plus intimes ?? 
- Seul les toilettes ont été épargné, mais chambre sous plusieurs angles, salle de bain pareille dont une bien orienté sur la douche et plusieurs sur la baignoire. 

Je grogne comprenant que ces personnes sont en plus de tous leur inculpations des voyeurs de la pire espèce. 

- Vous ne vous êtes jamais montré à visage découvert ??
- Non et comme vous nous l'aviez précisé nous n'avons pas touché à la tapisserie ni même emprunté le passage. Ils ne l'ont pas découvert non plus, la tapisserie était bien accroché comme elle l'avait fait. 
- Parfait il vaut mieux que ce soit seulement nous qui connaissions ce passage pour le moment.

Autant gardé quelques secrets avant qu'il n'y ait des problèmes, ils ne vont déjà pas apprécier que l'on ait enlevé tout leur matériel.  

- Nous avons vérifier aussi son cabinet mais il n'y avait rien là-bas hormis une caméra qui était visible donc installé surement par le médecin. 
- Parfait, merci pour votre travail. 
- Nous avons aussi branché un mouchard dessus, vous pouvez voir ce qu'il se passe en temps réel mais pas entendre grâce au lien que je vous ai envoyé. Nous allons aller la prévenir qu'elle ne court aucun danger. 

Je le remercie et le laisse aller vaquer à ses occupations alors que je reçois le mail sur mon téléphone, je n'ai pas encore appuyer dessus que j'entends son rire à ma droite. 

- Tu ne vas pas quand même faire ce à quoi je pense ?? Je pensais qu'elle était insignifiante pour toi. 

Je clique sur le lien et serre les poings en voyant les images qui se déroulent sous mes yeux, mes hommes ont bien fait de placer un mouchard. 

- Ce n'est pas parce qu'elle l'est que je dois la mettre en danger pour autant. 

Je lui montre mon téléphone et l'entends jurer alors que l'on prend nos armes à feu avant même de savoir ce qu'il veut on va le suivre pour connaitre sa destination. J'ordonne a Diego de garder la porte du cabinet de Tanya avant que l'on s'engage à suivre cet homme sans se faire repérer avec Livio. Après plusieurs minutes je souris en voyant ou il se terre, monsieur n'est clairement pas réfléchit et fonce tête baissée comme à chaque fois mais son clan fait de plus en plus d'erreur. Il ne restera bientôt plus rien d'eux et la mafia retrouvera son brillant d'antan mais pas rattacher à ce genre de pratique barbare. 

- Mets des hommes en planque devant cette maison et dans ce quartier je veux connaitre le moindre des mouvements de chaque personne qui entre ou sort d'ici. 
- Bien compte sur moi. 

Au coeur du dangerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant