IV

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Hello mes stars, comment vous allez aujourd'hui ?

Personnellement ça va.

Voici le quatrième chapitre de cette chronique, en espérant que cela vous plaise.

Sans plus tarder je vous laisse avec la suite.

Bonne lecture ! 💋

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Il est là, juste en face de moi.

Son regard posait sur moi.

Ce regard qui voulait en dire long.

Ce regard qui voulait dire :

« Prends moi pour un con et je te bute ».

Avec toutes les histoires que mon frère a pu me raconter sur lui et sa famille, devant lui je ne faisais pas du tout la fière.

Déjà, dû à sa carrure, il était aussi carré qu'une porte, aussi grand qu'un... bon pour le coup je n'ai pas vraiment d'idée mais tout ça pour dire qu'il était très grand, je dirais même un bon mètre 90.

Et son regard, celui qui laissait transparaître la mort, la haine, la fureur.

Cet homme était beaucoup trop imposant.

Simplement avec sa présence, sans avoir le besoin de parler. Il avait le pouvoir de nous faire taire, de nous angoisser ou de nous faire peur.

Toujours son regard posait sur moi, il prît la même chaise que tout à l'heure puis la traîna jusqu'à ma cellule.

À l'aide de sa main libre, il ouvrit la porte métallique et entra à l'intérieur.

Il installa la chaise en face de moi et lui se posa dessus.

Les coudes posait sur ses genoux, sa tête posée sur ses mains, il me regarda.

- Dis moi Cataleya, est ce que tu sais qui est ce que je suis ?

L'entente de mon prénom dans sa bouche me fit frémir. Je le regardais pendant quelques secondes me demandant si sa question en était une réelle ou simplement un piège.

Il ne faut pas oublier que toute à l'heure, avant de quitter cet endroit, il m'a dit :

« Bienvenue en enfer ma belle. »

Cette phrase tournait toujours dans ma tête me demandant se qu'il allait me faire.

Sans ouvrir la bouche, en guise de réponse je hochais la tête pour lui faire comprendre que oui, oui je sais qui il était.

- Alors je t'écoute, qui suis-je ?

- Je.. Enfin tu... vous...

Je perdis tous mes moyens. Je n'arrivais pas à placer ne serait-ce qu'un petit bout de phrase. Je ne savais pas non plus si je devais le tutoyer, le vouvoyer.

Comme d'habitude, je ne savais rien.

- Arrête de bégayer et réponds, dit-il d'une voix rauque toujours avec ce même regard.

L'Ange parmi les Démons Où les histoires vivent. Découvrez maintenant