L'Ange parmi les Démons

XXI

Coucou mes girls, j'espère que vous allez super bien aujourd'hui.

Comme vous savez, j'avais écrit dans le chapitre précédent que c'était le dernier de l'année,

SAUF  !

Que c'est impossible pour moi de ne pas vous en écrire un nouveau avant la nouvelle année.

DONC !

C'est pour cela qu'aujourd'hui je vous poste un dernier chapitre.

Et là c'est vraiment le dernier de l'année.

Enfin bref, sans plus tarder je vous laisse avec la suite de la chronique.

Bonne lecture mes stars ! 💋

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Cataleya

- Nouveau quoi ? fit Nerea dans mon dos.

Je pense que comme moi, elle est assez choquée du propos qu'il venait de dire.

Mais moi, contrairement à elle, je n'ai pas trouvé les mots afin de réagir.

Nouveau colocataire...

Lorenzo va donc habiter ici pendant une période indéterminée ?

- Colocataire, tu sais celui qui...

- Oui merci on sait, dis-je finalement pour qu'il se taise.

Je ne le connais pas ou bien que depuis quelques minutes donc très vaguement mais rien que sa présence est dérangeante.

Je tourne enfin la tête en direction de Nerea qui avait complètement changé de couleur, elle était très pâle hors que d'habitude son teint de peau est tout sauf pâle.

- Déjà on dit pas colocataire espèce de stronzo, dis juste que tu vas rester habiter ici, cracha Priam avant de sortir de la cuisine.

J'avais toujours le regard rivé sur Nerea qui elle, avait son regard rivé sur Lorenzo. Elle avait toujours la poêle dans sa main droite et dans l'autre une spatule en bois.

Je suis assez étonnée de sa réaction parce que je pensais qu'elle l'aimait bien, vu comment elle l'a accueilli toute à l'heure mais apparemment, j'ai dû mal interpréter les choses.

Je tourna la tête afin de re regarder Lorenzo qui avait toujours ce même sourire de crétin scotché sur les lèvres.

Et son regard...

Un vrai regard de pervers.

Un regard qui voulait en dire long sur ses intentions.

Je détourna le regard et commença ma course afin de sortir le plus rapidement possible de cette cuisine.

Mais à ma grande surprise, je me fis stopper par une main qui attrapa violemment mon bras et qui m'obligea à lui faire face.

Bien entendu, cette personne n'est personne d'autre que Lorenzo.

- Lâche moi tout de suite, lui dis-je tout en essayant de dégager mon bras de son emprise.