L'Ange parmi les Démons

XXXV

Coucou les filles comment vous allez ? Personnellement je vais super bien !

Avant de commencer je vais une nouvelle fois vous remercier pour toute la force que vous me donnez, c'est adorable de votre part ! Je vous aime !

Sans plus tarder je vous laisse avec la suite.

Bonne lecture ! 💋

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Cataleya

Je me réveilla lentement encore exténuée de ces dernières semaines.

Depuis que je suis ici, je n'ai pas réussi à regagner toutes les heures de sommeil que j'ai perdu.

Pas étonnant...

Je m'étirais furtivement puis mon bras se posait sur le côté du lit qui était vide.

Où est Nerio ?

Sûrement parti.

À moins qu'il n'ait pas dormi ici finalement.

Sans prêter attention à son absence, je me leva, mis mes pantoufles ainsi qu'un long gilet noir puis sortie de la chambre.

Le couloir du haut était vide, aucune trace de vie de qui que ce soit.

Je ne savais pas l'heure qu'il était mais rien qu'en voyant les rayons du soleil, il devait être assez tard dans la matinée...

Ou assez tôt dans l'après-midi.

Je descendis les quelques marches d'escaliers.

Plus je descendais et plus je pouvais entendre du bruit provenir de dehors.

Comme de la musique et quelques voix masculines.

Une fête... j'hallucine complètement !

Arrivant dans le salon, je regardais au niveau du jardin.

Deux transats, de la musique mais personne en vu.

Qu'est ce que c'est que ce délire ?

Je me dirigea instinctivement vers le jardin pour comprendre se qu'il se passait.

Les deux seules personnes que j'aperçus était Lorenzo ainsi que Cristian, tous les deux de dos.

- Aller mec on lâche pas ! fit Lorenzo en faisant un pas de danse.

- Maintenant prise du cobra, lâcha Cristian en prenant une pose assez drôle.

Sans réfléchir, Lorenzo fit de même.

- Prise du tigre, fit Lorenzo en se mettant à quatre pattes.

Cristian fit de même.

- Au tour de la menthe religieuse ! Lâcha Cristian en se relevant et en se tournant.

En me voyant, il fit un léger saut de recul, sûrement surpris de me voir.

- Faisons le flamand rose maintenant, cracha Lorenzo toujours à fond dans son délire.