L'Ange parmi les Démons

XVII

Coucou les filles, comment vous allez aujourd'hui ?
Personnellement ça va super !

Je m'excuse pour mon inactivité pour le moment mais avec les cours c'est compliqué.

Enfin bref

Aujourd'hui nouveau chapitre de cette chronique.

J'espère qu'il vous plaira !

Bonne lecture mes stars ! 💋

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Je me réveille doucement enfin, doucement est un très grand mot.

Je me réveille plutôt avec des cris provenant du salon.

Qu'est ce qu'il se passe encore ?

J'ai l'impression que dans cette maison, il n'y a pas un moment où on peut se reposer convenablement.

Je m'étire vite fait et me dirige jusqu'au canapé qui se trouve au coin de la chambre. Je prends un petit gilet noir qui doit sûrement être à Nerea et l'enfile.

Je vais ensuite vers la porte et l'ouvre.

Je ne sais pas pourquoi mais la fraicheur de la poignet me procure des frissons dans tout mon corps.

Je descends les quelques marches de l'escalier pour me retrouver dans le salon.

A ma grande surprise, j'entends la porte d'entrée claquer puis plus rien.

Plus de bruit, plus aucun cri.

Plus rien.

Je me dirige dans la cuisine, Nerea avait les coudes posaient sur le plan de travail avec la tête entre ses mains.

- Ça va ? demandai-je doucement.

Peut-être dû à la surprise de ma présence, étant donné qu'elle ne devait pas s'attendre à me voir, elle sursaute et lève la tête en ma direction.

Je pouvais voir à travers son regard toute la peine qu'elle gardait en elle.

Je pouvais aussi voir quelques larmes couler le long de ses joues.

La voir dans cet état me déchire le cœur.

Je ne sais pas encore ce qu'il se passe mais la voir dans cet état me fait vraiment mal au cœur.

J'ai toujours l'habitude de la voir sourire.

Cette fille a toujours la joie de vivre et voir qu'elle ne va pas bien me peine énormément.

Je me précipite rapidement vers elle et la prend dans mes bras.

Je pouvais entendre dû à ses reniflements qu'elle s'était remise à pleurer.

Je ne parla pas, je préfère la prendre dans mes bras afin qu'elle exprime toute la tristesse qu'elle garde en elle.

On reste comme ça pendant quelques minutes puis nous nous détachons l'une de l'autre.

Elle prend un mouchoir dans la boite qui se trouvait à côté d'elle et se mouche.

Moi, pendant ce temps là, je retourne m'installer sur le tabouret en face d'elle et dis :

- Tu veux en parler ?

Elle me regarda pendant quelques secondes puis dit :

- Je n'ai pas trop le cœur à ça.