L'Ange parmi les Démons

XXXVIII

Coucou les filles, comment vous allez aujourd'hui ? Moi je vais super !

Excusez-moi pour le retard de ce chapitre mais j'avais énormément de mal à l'écrire puis avec l'oral du bac de français, j'avais énormément de mal à trouver du temps pour écrire.

De plus, ce genre de chapitre n'est pas vraiment quelque chose que j'ai l'habitude d'écrire donc l'inspiration met venue mais avec beaucoup de mal.

J'espère que cela vous plaira quand même !

Alors sans attendre plus longtemps, je vous laisse avec la suite.

Bonne lecture ! 💋

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Cataleya

Allongée sur mon lit, je regarda le plafond.

Je ne sais pas l'heure qu'il est mais une chose est sûre en voyant les rayons du soleil qui venait de pointer le bout de son nez, le matin venait d'arriver.

J'avais donc fait une nuit blanche malgré le sommeil qui me pesait.

Il y a de ça quelques heures, j'avais entendu les garçons rentrer.

Massimo était-il avec eux ?

Et Nerea comment va t-elle ?

Je souffla me sentant terriblement coupable des événements qui vont suivre.

La porte s'ouvra rapidement me faisant sortir de ma rêverie.

Nerea fit son apparition.

Elle avait le visage fermé, un peu le même visage que son frère.

Elle rentra et ferma la porte derrière elle.

Restant appuyer sur la porte, elle me regarda.

Je pouvais comprendre qu'elle était dans ses pensées.

Réfléchissait-elle aux mots qu'elle allait me dire ?

Ne sachant pas quoi dire, j'attendis que Nerea prenne la parole la première.

Je ne sais pas trop sur quel pied danser à ce moment-là.

Dois-je m'excuser avant de lui expliquer les raisons de mon acte ?

Ou dois-je lui expliquer les raisons avant de m'excuser ?

Je la vis s'avancer doucement vers le bord du lit et s'assoir.

Le silence qui était dans cette pièce était insoutenable, je détestais être dans cette situation, surtout avec elle.

Nerea a été ma seule vraie amie et je ne supporterai pas de la perdre, même si ça doit prendre du temps pour me faire pardonner, tant pis.

Ça prendra le temps qu'il faut.

- Nerea je-

- Je ne t'en veux pas Cataleya, dit-elle en me coupant.

Cette phrase fit battre mon cœur à une vitesse folle.