L'Ange parmi les Démons

XLVII

Coucou les filles, j'espère que vous allez bien.

Personnellement je vais super !

Contrairement au début de la chronique, je ne parlerai plus autant qu'avant.

Enfin bref, sans plus tarder, je vous laisse avec la suite.

Bonne lecture ! 💋

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Nerio

Assis derrière mon bureau, j'essaya de m'occuper l'esprit en travaillant sur différents dossiers que j'avais mit de côté.

Ne pouvant pas régler les comptes de Joe pour le moment, j'étais contraint de me limiter à récupérer des cargaisons.

Que ce soit de l'argent, des armes, du poisons.

Tout et n'importe quoi.

Mais de ne pas tuer les Profaci qui restaient, c'est à dire Joe et sa fille.

Sachant que Natalina est sa fille, la colère que j'avais envers cette femme ne faisait qu'augmenter.

Ils m'avaient bien bernés.

Depuis le début Joe avait prévu son coup mais dommage pour lui, j'ai et j'aurai toujours un coup d'avance.

Jusqu'à aujourd'hui, j'ai toujours su contrer ses tentatives de me faire tomber.

Pourquoi je ne devais pas les tuer ?

Je voulais laisser se privilège à Cataleya ou au moins, qu'elle décide de leur sentence.

Si je dois les tuer, les torturer ou si elle veut s'en charger elle même.

J'ai volé cette chance à Nerea, je ne ferai pas deux fois la même erreur.

Priam entra dans le bureau se qui me fit lever mon nez de mes affaires.

Il resta dans l'encadrement de la porte et dit :

- Joe et Natalina ont été vu en direction de l'Allemagne, j'envoie des hommes ?

Tout en faisant tourner le stylo entre mes doigts je répondis :

- Laissez les.

Priam me regarda surpris de cette réponse.

- Je te demande pardon ?

- Je t'ai dit de les laisser, me répétais-je se qui avait le don de m'exaspérer.

- Tu ne comptes pas venger Cataleya ? me demanda t-il.

- C'est à elle d'en décider, nous n'allons rien faire tant qu'elle n'est pas réveillée et apte à choisir leurs sentences.

Voyant que j'allais pas revenir sur ma décision, il fit un léger signe de tête et sorti en claquant la porte.

Je continua de signer quelques contrats jusqu'à tomber sur un dossier que j'avais complètement mit de côté.