L'Ange parmi les Démons

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Coucou mes bichettes, comment vous allez aujourd'hui ?

Personnellement je vais super bien. Dernière semaine de vacances, j'essaie de profiter un max !

Par rapport à d'habitude je n'ai pas grand chose à dire donc sans plus tarder je vous laisse avec la suite.

Bonne lecture ! 💋

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Cataleya

- La soirée est fini, dit-il en se retournant vers les personnes qui nous regardaient, rentrez tous chez vous.

Sans poser une seule question, toutes les personnes présentent se rues vers la sortie.

Seuls quelques personnes, qui doivent sans doute être ses hommes, restent plantés là, arme à la main, attendant l'accord de leur chef pour me tuer.

- Rangez vos armes vous ! ordonna t-il d'une voix rauque qui me fit frissonner.

Sans broncher, tous range leur arme en gardant ce même regard braqué sur moi.

Un regard qui me donnait vraiment la chaire de
poules.

Le genre de regard qui veut dire « bouge et je te flingue sur place ».

- Plusieurs questions me viennent en tête mais je ne vais me contenter que d'une seule, fit-il en s'accroupissant en face de moi. Où est ton mari ?

Je le regarda pendant quelques secondes ne sachant pas trop quoi lui dire et surtout ne sachant pas trop quoi faire.

Dois-je jouer la comédie ? Dois-je être honnête ? Ou dois-je ne rien lui dire ?

Opte pour la dernière option.

Comme réponse, je me contenterai de lui cracher un bon gros molarre dans la tête.

Le simple fait de le voir en face de moi me donna une nausée que je ne peux contrôler ou avec énormément de difficultés.

Rien que de voir son visage me rappela tout le mal qu'il a fait autour de lui. De tout se que Nerio, Toni m'ont dit à son sujet.

Cela me rappelle également cette mission où j'ai failli perdre se que j'avais de plus précieux à mes yeux.

Sans prendre la peine de prononcer ne serait-ce qu'une seule parole, il m'attrapa par les cheveux et m'entraîna à l'intérieur.

Où est Nerio ?

C'est toujours dans ces moments là qu'il est absent !

Avant d'entrer complètement, je regarda furtivement en direction de la cachette de Nerio mais rien.

Je ne voyais rien hormis des buissons.

Fait chier !

- Mais lâchez moi, fis-je en essayant de me défaire de sa poigne.

Il continua son chemin sans prendre la peine de me répondre.

J'essayais tant bien que mal de me défaire mais rien n'y fait. Plus je me débattais et plus il tirait sur mes cheveux.