L'Ange parmi les Démons

XXXII

Coucou mes vies, comment vous allez aujourd'hui ?

Moi ça va super hormis le stress qui commence à se faire ressentir avec le bac de gestion qui avance à grand pas ! Pour celles qui passent le bac, comment ça se passe pour vous ? En tout cas je vous souhaite bonne chance !

A vrai dire je ne vais pas blablater pendant trop longtemps et sans plus tarder je vous laisse avec la suite de l'histoire.

Bonne lecture ! 💋

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Cataleya

20H45. En direction de l'endroit en question.

Cela faisait à présent 15 minutes que nous roulions. Aucun de nous ne parlait. Lui trop occupait dans ses pensées et moi, à la fois impatiente de savoir se qu'il m'attendait mais également stressais.

Et si il regrettait son choix ? Et si il allait me tuer et tout se que Nerea m'a dit n'était juste qu'une ruse ?

Non, retire ces sottises de ton esprit.

Je regardais par la fenêtre le paysage défiler à une allure folle. Je ne savais pas à combien il roulait mais une chose est sûr, il roulait extrêmement vite, ce qu'il ne me dérange absolument pas, j'adore la vitesse !

- Tu es stressée ? me demanda Nerio en posant sa main sur ma jambe tremblante.

Ce geste me procura à la fois de l'incompréhension mais également une sensation que je ne pourrai d'écrire.

Depuis quand avait-il ce genre de comportement en mon égard ? Ce genre de geste ? Qu'est ce qu'il lui arrivait pour être aussi gentil ? Je ne sais pas réellement si ce mot est exact. Comme dirait Nerio

" Je suis tout sauf gentil "

- Légèrement, répondis-je finalement.

- Pourquoi donc ?

- Une simple pulsion de ta part et je me retrouve morte je te rappelle, en plus de ça, tu me ramènes dans un endroit que je ne connais absolument pas.

Il souri d'un coin de ses lèvres en gardant toujours sa main contre ma jambe qui avait arrêté de trembler.

- Ton heure n'est pas encore venue.

- Cette phrase est censée me rassurer ?

- Probablement, je ne suis pas spécialiste dans le domaine de rassurer une personne.

- Tu es même très nul !

Il rigola d'un rire franc, ce qui me fit rire à mon tour.

Le voir rire est toujours aussi déstabilisant, je ne le vois que très rarement faire ce genre de chose. Soit il fait toujours la gueule, soit... Bah soit rien, monsieur fait toujours la gueule !

Mais ce soir, le voir rire me fait chaud au coeur étant donné que cela est extrêmement rare.

Très vite, nous arrivions à destination.