L'Ange parmi les Démons

IX

Coucou les girls, comment vous allez aujourd'hui ?

Personnellement ça va super !

Nouveau chapitre de mon histoire, en espérant que cela vous plaira, en tout cas j'espère de tout coeur.

Alors sans plus tarder je vous laisse avec la suite.

Bonne lecture ! 💋

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Cela devait maintenant faire 30 minutes que nous étions là et je n'avais toujours pas lâché Nerio ne serait-ce qu'une seule seconde.

Plus le temps passait et plus je sentais des regards sur moi.

Plus le temps passait et moins je ne me sentais à l'aise.

Nerio lui ne me prêtait aucune importance, beaucoup trop occupé à parler avec les hommes présents.

- Et sinon Nerio, qui est la jolie demoiselle que tu as ramené ? demande un homme en déposant son regard sur moi.

À vrai dire, le verbe qu'il venait d'employer ne me faisait pas vraiment plaisir.

Il ne m'a pas ramené mais je suis venue, certes en trainant les pieds mais je suis quand même venue.

Voyant que Nerio n'apportait aucune réponse à cette question et que l'homme devant nous commencé à s'impatienter.

- Cataleya, sa femme, enchantée.

L'homme dont je ne connaissais pas le nom, m'offrit son plus beau sourire.

Instinctivement, mon regard se porta sur Nerio qui se crispa.

Je sais que ça ne l'enchantait absolument pas de faire croire que j'étais sa femme mais il faut qu'il sache qu'à moi non plus ça ne m'enchantait pas. Nous étions dans le bateau et il fallait se serrer les coudes.

- Et bien Nerio, dit l'homme en re déposant son regard sur lui, tu as une très jolie femme.

Si seulement il savait...

- Je sais oui.

À l'entente de sa phrase je tournais la tête brusquement.

Je ne m'attendais pas ce que Nerio dise ça.

Après, c'est juste pour la mission.

Sans m'en rendre compte, je sentis la main de Nerio sur le bas de mon dos.

L'homme qui se trouvait face à nous partit en nous lançant un petit sourire.

Nerio reprit sa marche m'emportant avec lui jusqu'à la pièce d'à côté, où il n'y avait personne, toujours en gardant sa main au bas de mon dos. Je voulais le repousser, qu'il me lâche. J'avais du mal avec le contact physique, surtout SON contact physique.

Mais Dieu merci, une fois que nous avions passé la petite porte, la refermant derrière nous, Nerio enleva sa main.

- T'as du gel hydroalcoolique dans ton sac ?