Chapitre 43 - Le jour J

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Alice se réveilla dans les bras de Fred. En voyant le sourire et le regard de Fred posaient sur elle, elle ne pu que se sentir heureuse.

- Êtes vous prête futur madame Marquand ?
- Je crois Oui. Cette journée va être folle et épuisante mais j'ai hâte.
- Je t'aime !
- Va falloir que je m'échappe de tes bras.
- Je sais bien.

Alice déposa un doux baiser sur les lèvres de son fiancé avant de se lever. Elle enfila un peignoir et sorti de la chambre. A peine elle arriva en bas qu'elle retrouva sa fille.

- Mon petit coeur t'es sage avec papy.
- Comment va la reine de la journée ?
- Pour l'instant tout va bien. Je vais prendre mon petit déjeuner calmement et je ne veux rien entendre sur le mariage tant que je n'aurais pas fini.
- Comme tu voudras.
- Ah Alice justement.... Fit Victor.
- Chut ! Tant que je n'ai pas pris mon petit déjeuner je ne veux rien entendre. Surtout rien qui ne concerne le mariage.

Elle s'installa dans la cuisine avec son thé. Fred fini par la rejoindre, il passa son bras pour l'enlacer avant de lui déposer un baiser dans le cou.

- Qu'est ce que tu fais la toute seule ? Ça va ?
- Oui, ça va mon amour je voulais juste prendre mon thé tranquillement loin de toute l'agitation. Après je sais qu'on ne pourra plus se poser avant ce soir le moment où on s'échappera de la soirée.
- Repose toi quand même mon amour ! Pense au bébé.
- Je vais essayer de me reposer, je te promet.

Fred s'installa avec son café et l'embrassa tendrement. Ils profitèrent de ce moment tout les deux, avant de regagner le salon où tout le monde les attendait. L'un et l'autre furent embarqués dans des pièces séparées. Alice fut chouchoutées pendant tout le reste de la matinée.

- Il reste combien de temps devant nous ? Demanda-t-Elle.
- La styliste arrive avec la robe dans une dizaine de minutes. S'exclama Victor.
- Je peux donner son repas à Cléo ?
- Oui bien sûr Alice mais après faudra laisser votre père s'en occuper.
- J'ai besoin d'un moment avec elle.

Elle regagna la cuisine et s'installa en face de sa fille.

- Coucou ma petite canaille !
- Qu'Est ce que tu fais la ma fille ?
- je vais lui donner son repas avant d'enfiler ma belle robe.
- Tiens alors. En tout cas t'es magnifique ma chérie.
- Merci papa mais t'as pas vu ma robe encore. Toi aussi tu vas mettre ta jolie robe.

Alice s'occupa de sa fille, elle était dans sa bulle ça lui faisait du bien de faire une pause. Elle monta sa fille au lit et sorti la tenue de Cléo avant de retourner dans sa chambre.

- Enfin vous voilà !
- Pardon je couchais ma fille pour sa sieste. Maintenant je peux enfiler ma robe.
- C'est parti alors.

Alice eu les larmes aux yeux en mettant sa robe.

- Ah non Alice on ne pleure pas, votre maquillage.

Victor arriva aussitôt avec un mouchoir pour essuyer délicatement les quelques larmes. Alice se tourna légèrement pour se regarder dans le miroir.

- Vous êtes magnifique !
- Toc ! Toc ! Toc ! Je peux entrer ?
- Oui papa tu peux.
- T'es magnifique ma chérie. Dit-il lui aussi les larmes aux yeux. Je suis fier de toi, de la femme que tu es devenu. De la famille que tu te construis. Fred C'est quelqu'un de bien Et je sais qu'il sera toujours là pour toi.
- Mon papa !
- C'est pour Toi.
- C'est Quoi ?
- Quelque chose de vieux.

Alice ouvrit la boîte et découvrit un voile avec le diadème que sa mère portait le jour de son mariage avec son père.

- C'est celui de maman ?
- Oui. Je me suis dit que d'avoir un peu d'elle sur toi, te ferait plaisir. Ça te permettrait d'avoir l'impression qu'elle est un peu avec toi malgré tout.
- Merci.
- Je vais t'aider à le mettre.

Quand plus rien ne vaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant