Une fois seule avec Fred, Alice s'installa de façon à ce que son homme puisse la masser et soulager un peu son dos. Elle commença à relâcher la pression au fur et à mesure que les mains de Fred passaient sur son corps. Elle fini par fondre en larmes et se retourner pour se blottir dans ses bras.
- Je suis désolé.... Dit-elle.
- Ne t'excuse pas, si ça te fait du bien pleures. Je t'aime !Au bout de quelques minutes à pleurer dans les bras de Fred elle fini par s'endormir. Lorsqu'en fin de journée Éric rentra dans la chambre Fred lui fit signe de ne pas faire de bruits.
- Tu veux que je repasse plus tard ?
- Non je vais la réveiller.
- Tiens tes affaires je vous attend dans le couloir.
- Merci.Fred passa sa main délicatement sur la joue d'Alice en lui déposant un baiser sur son front.
- Mon amour va falloir se réveiller.
- J'ai dormi longtemps ?
- 5 heures.Alice le regarda surprise. Il ne pu s'empêcher de rire en voyant sa tête et répéta ce qu'il avait dit. Elle se leva et fut surprise de voir Fred se lever aussi, mettre ses chaussures.
- qu'est ce que tu fais ?
- Je rentre. Mais avec ça ! Dit-il en montrant sa béquille.
- C'est un beau compromis pour t'avoir contre moi cette nuit.
- Je dois resté allongé le plus souvent possible et éviter de trop marcher pendant plusieurs jours. Et aller aux urgences si je vois que ça saigne trop.
- C'est noté.Alice embrassa tendrement son mari avant de sortir de la chambre contre lui. Ils rentrèrent chez Joséphine est passèrent une soirée très calme en famille. Mercredi arriva à grand pas. Alice et Fred étaient bien arrivé à Dijon chez Jacques. La route avait été compliqué pour le couple qui l'un comme l'autre ne trouvait pas de position dans laquelle il était à l'aise pendant tout le trajet. A peine arrivée Alice alla s'allonger en demandant à son père de s'occuper de Cléo, Fred la suivit.
- T'as l'air tendu... c'est demain qui t'inquiète ?
- Un peu... toi ça va aller d'être seul avec Cléo ?
- Oui ne t'en fais pas. Vu l'heure quand tu partiras elle fera la sieste et on l'allongera ici avec moi comme ça je pourrais m'en occuper facilement sans devoir la porter. Et pour son goûter normalement tu seras là. Sinon j'improviserai. Comme on a fait sur la route.
- Tu me promets que tu feras attention ?
- Promis.
- Tu ne veux pas que je demande à Marie de venir t'aider ?
- Je ne pense pas avoir besoin d'aide mais si ça peut te rassurer.
- Je vais lui envoyer un message.Le couple resta un instant à se reposer avant de descendre dîner. Ils mangèrent tous ensemble, Cléo avait fini dans les bras de sa maman.
- Elle est si mignonne dans tes bras... fit Jacques.
- Je crois qu'elle a besoin de sa maman après les événements des derniers jours. Répondit Fred.
- Et sa maman a besoin de l'avoir dans ses bras et d'être dans les bras de son mari. S'exclama Alice.Fred se pencha difficilement pour embrasser sa femme. Jacques fini par se lever pour débarrasser la table laissant la petite famille. Alice fini par se lever pour aller mettre sa fille au lit. Elle se changea en attendant que Fred la rejoigne. Lorsqu'il rentra dans la chambre, elle était devant le miroir à se caresser le ventre en se regardant. Il se colla contre elle, en lui posant un baiser dans le cou.
- T'es magnifique !
- Je t'aime !Ils restèrent un instant l'un contre l'autre sans rien dire avant d'aller s'allonger l'un contre l'autre. Lorsque Cléo se réveilla, Alice râla. Elle n'avait pas envie d'affronter cette journée.
- Mon amour profite d'elle ça va te faire du bien.
Alice ne dit pas non. Elle passa la la matinée avec sa fille avant de se préparer. Elle mit Cléo à la sieste avant de partir avec son père.
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Quand plus rien ne va
FanfictionAlice Nevers est une jeune juge d'instruction mariée avec un ténor du barreau. Elle vit une vie paisible jusqu'à ce qu'un petit rien fait basculer sa vie.