Alice et Fred finirent l'enquête tranquille, tout en continuant à s'installer dans leur appartement. Ils avaient décidé d'inviter Victor à dîner maintenant qu'ils étaient correctement installé.
- Tu prépares quoi de bon ? Dit Alice en se collant à lui.
- Un plat en sauce que je vais mettre à mijoter pendant que toi mon amour tu vas aller ouvrir la porte.Elle l'embrassa avant de s'exécuter. Elle débarrassa son ami de son manteau.
- Installez vous Victor ! Qu'est ce que vous voulez boire ?
- Je Vous ai ramené une bouteille et comme je sais qu'avec le bebe vous pouvez pas boire d'alcool je vous ai pris des chocolats.
- Ceux sont les Même que vous cachez dans le tiroir de votre bureau ?
- Oui ceux que vous mangez des que j'ai le dos tourné.
- J'ai du le faire une ou deux fois.
- Mouais vous avez de la chance que ça soit vous. Je ne l'aurais pas accepté de n'importe qui.
- Merci. Tiens mon amour tu ouvres la bouteille ?Fred prit la bouteille et regarda l'étiquette. Il signala à Victor qu'il avait très bon goût. Il sorti le tir bouchon et l'ouvrît. Il s'installa dans le salon à côté d'Alice en servant les verres. Alice de son côté c'était servit un jus de fruits.
- C'est très agréable chez vous, la décoration est vraiment magnifique.
- C'est Alice qui a tout fait, la seule pièce que j'ai eu le droit de décorer c'est notre chambre.
- Enfin mon amour tu as pris le droit de la décorer.
- je reconnais que je ne lui ai pas laissé le choix.
- D'ailleurs je vous ai pas fait visiter.Alice se leva entraînant Victor dans les différentes pièces.
- Et là ?
- La pour l'instant ce n'est pas tout à fait fini et c'est fermé à clef, pour que le grand curieux qu'est le commandant ne rentre pas.
- A la chambre du bebe, son secret le mieux gardé depuis qu'il n'y a plus un carton dedans. Dit Fred en prenant Alice dans ses bras.
- Bientôt mon amour tu pourras la voir et vous Victor vous serez obligé de revenir avec des chocolats.
- Je manquerai ça pour rien au monde.Ils retournèrent dans le salon, Victor regardait le couple suspicieux.
- Bon Victor ! Je vous connais par cœur qu'est ce qu'il y a ?
- Non rien....
- Victor.
- Je me demandais juste comment ça se fait que vous êtes ensemble tout les deux ?
- Oula Victor C'est une bien longue histoire. Affirma Alice.
- C'est Juste qu'au palais les gens s'interrogent, parlent. Certains disent que ça fait des années que vous êtes ensembles.
- Laissez-les parler Victor, à part colporter des rumeurs ils ne savent pas faire grand chose. S'énerva Fred.Ce dernier essaya de changer de sujet en invitant tout le monde à passer à table mais Victor fini par revenir à la charge pendant le plat.
- Vraiment j'aimerai bien savoir Alice...
- Bien.... Je vais vous faire un résumé.
- ça me va.
- ça devenait très compliqué avec Étienne, puis Fred lui était là. Un soir ça a dérapé et je suis tombé enceinte. J'avais prévu de quitter Étienne avant de savoir que j'étais enceinte. On c'est un peu cherché au début mais très vite c'est devenu une évidence, notre amitié si forte est devenu un bel amour.
- Et Étienne comment il vit tout ça ?
- Il a accepté la situation assez facilement. Je pense que lui comme moi savait qu'on était arrivé au bout de notre histoire. Au début forcément il a essayé de me retenir mais une fois qu'il a compris ce que je ressentais pour Fred il a accepté. Ça peut paraître bizarre.
- Non Alice ça ne paraît pas bizarre. Dit Victor. Vos regards, vos attentions l'un pour l'autre m'ont toujours interpellé. J'ai toujours vu quelque chose de fort entre vous et je suis ravis de voir que vous avez sauté le pas.Alice répondit par un sourire aux mots de son ami avant de se lever pour débarrasser les assiettes. Elle revint avec le dessert, ils parlèrent de tout et de rien. Ils finirent la soirée dans le salon autour d'un dernier verre. Alice était dans les bras de Fred, elle les écoutait discuter en profitant des mouvements de son bébé et de la main de Fred sur son ventre.
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Quand plus rien ne va
Fiksi PenggemarAlice Nevers est une jeune juge d'instruction mariée avec un ténor du barreau. Elle vit une vie paisible jusqu'à ce qu'un petit rien fait basculer sa vie.