Quand plus rien ne va

Chapitre 30 - Disparition !

Lorsque Fred vit Alice lacher son téléphone il comprit que c'était grave. Il se dépêcha de traverser la rue pour la prendre dans ses bras.

- Mon amour qu'est ce qu'il y a ?
- Cléo. Elle a été..... Enlevée....

Alice explosa en sanglot dans les bras de Fred incapable de dire quoi que se soit de plus. Fred la serra dans ses bras et l'aida à marcher jusqu'à à la voiture. La voir éteinte lui brisé le cœur il avait envie de la réconforté mais la seule chose dont il était capable c'était de tout faire pour retrouver sa fille. Une fois à la crime il se dépêcha de rejoindre le bureau du divisionnaire.

- Marquand vous pourrirez frapper !
- Ma fille de 6 mois à été enlevée, alors non je n'ai pas le temps de frapper à la porte.
- comment ça ?
- Vous voulez que je répète, vraiment ?
- Pardon mais ce n'est pas rien comme accusation.
- ça fait plus de deux heures. Si on ne la retrouve pas....

De son côté Alice avait attendu un temps dans la voiture mais elle avait fini par en sortir pour rejoindre Fred. C'est livide, les jambes qui la tenaient à peine qu'elle traversa la crime. Tout le monde la laissa passé en le regardant surpris et dans l'incompréhension. Elle qui était toujours souriante et quand elle ne l'était pas c'est qu'elle était énervée mais elle avançait toujours d'un pas déterminée.

- Il va faire quelque chose. Demanda Alice d'une petite voix en entrant dans le bureau.

Fred se précipita pour l'aider à avancer et la faire s'assoir.

- T'aurais du m'attendre dans la voiture.
- Je ne peux pas rester sans rien faire alors que ma fille a été enlevée.
- Vous avez des preuves de ça ?
- Appelez sa nounou, convoquez la ! Interrogez la ! Vous verrez bien. S'énerva Fred.
- Fred tu peux aller me chercher un verre d'eau ?
- Oui bien sûr.
- Monsieur Le divisionnaire ! Dit elle une fois sur que son homme soit sorti de la pièce. Vous vous doutez bien que si on est là ce n'est pas sans raison. Ma fille n'a que 6 mois. C'est encore un bébé ça fait plus de deux heures que ça c'est produit et vous savez aussi bien que moi que plus vite vous bougerez les choses plus vite on la retrouvera. Puis vous vous doutez bien que si vous ne faites rien il fera les choses sans votre accord et ça risque de mal tourner.
- Ceux sont des menaces juge Nevers ?
- Non juste une affirmation de ce qui va se passer si vous ne faites rien et vous le savez aussi bien que moi.

Alice s'arrêta voyant son téléphone sonner. Elle reçu un sms anonyme avec une photo de sa fille qui dormait et un message qui disait qu'elle serait plus heureuse maintenant dans sa nouvelle famille. Elle fondit en larmes.

- Ceux sont les ravisseurs ?

Alice montra le téléphone au divisionnaire, qui ne perdit pas une seconde pour demander l'accord au procureur pour ouvrir une enquête. Fred en revenant ne comprit pas tout. Il tendit le verre à Alice qui le bu d'une traite.

- Votre nounou à été convoqué mais je vais avoir quelque questions à vous poser.
- Bien. Repondit Alice.
- Est ce que vous avez une idée de qui pourrait vous en vouloir au point d'enlever votre fille.
- Je dirais à peu prêt toute les personnes que j'ai envoyé en prison et idem pour Fred.
- Dans votre sphère privée ?
- Une ex peut être.... S'exclama Fred.
- Je vais avoir besoin des prénoms Et noms. Et vous Alice ?
- Je ne vois pas. Avec mon ex mari on c'est quitté en bon terme.
- En Bon terme Oui. Fit Fred. Mais il voulait quand même un enfant avec toi et ne l'a pas eu.
- ce n'est donc pas une piste à écarter Alice. Vous avez une photo récente ?
- Oui... Je vous l'envoie par mail. Dit elle en prenant son téléphone.

Alice en voyant la photo de sa fille toute souriante eu du mal à retenir ses larmes.

- Je vais vous demander de rentrer chez vous pour ne pas déranger les enquêteurs. Vous le dites vous même les premières heures sont cruciales. On va mettre votre portable sur écoute. Si jamais vous recevez un autre message vous nous prévenez tout de suite.
- Bien.