Quand plus rien ne va

Chapitre 26 - Premier jour à 3 !

Une fois à l'hôpital, Alice passa bien deux heures à marcher dans les couloirs tout en supportant les contractions avant de perdre les eaux. Elle releva la tête paniquée vers Fred lorsque ça arriva.

- Ça va Aller mon amour ! C'est le début de ton plus beau rôle dans la vie.

Elle l'embrassa avant de lui demander de l'aider à aller jusqu'à la chambre. Elle fut aider par les infirmières pour s'installer correctement. Fred était à côté d'elle, il lui tenait la main. On les laissa un moment rien que tout les deux en précisant qu'on viendrait voir régulièrement si tout allait bien. Une forte contraction força Fred à aller chercher une infirmière qui fit appeler tout de suite l'équipe pour la faire accoucher.

- Alors Madame Nevers! C'est le grand jour ! Fit la gynécologue en entrant dans la piece.
- il parait.
- J'espère que vous vous êtes bien reposée cette nuit.
- Pas Vraiment.
- Mon premier bébé de la journée. Vous avez de la chance c'est mon dernier jour avant de partir en vacances. Bon assez parlé va falloir y aller maintenant !

Alice commença à paniquer, à serrer la main de Fred un peu plus fort.

- Mon amour ça va Aller ! Tout va bien se passer mais faut que tu respires !
- Mon amour je t'aime mais tais-Toi !

A peine elle eu fini sa phrase qu'on lui demanda de pousser. Fred ne la lâchait pas, il lui passa une serviette humidifiée sur le front, pour la rafraîchir. Il répéta cette action plusieurs fois entre chaque moment où on lui demandait de pousser.

- J'en peux plus !
- Mon amour t'es si forte ! Tu y es presque ! Je t'aime !
- il a raison votre mari. Allez on respire un peu et à la prochaine contractions on donne tout. On est vraiment tout proche.

Alice donna toute l'énergie qu'elle avait sur les deux contractions qui suivirent. Lorsqu'elle entendit les pleures de sa fille elle fut soulagée et relâcha toute la pression. Après que Fred eu coupé le cordon et Les premiers soins fait, on posa la petite dans les bras d'Alice.

- Bonjour mon petit cœur ! Dit-elle.

Fred avait les larmes aux yeux tant il était ému. C'est avec quelque difficulté à contenir son émotion qu'il réussi à immortaliser le regard rempli d'amour d'Alice posé sur leur fille. Il resta silencieux collé à Alice.

- Lui c'est ton papa, celui qui t'a tant parlé ces 9 derniers mois.
- Monsieur vous voulez la prendre ?
- Euuuh Oui !
- Enlevez votre tee shirt Et allez vous installer sur le fauteuil là qu'on vous la mette en peau à peau.

Fred ne se fit pas prier, une fois sa fille dans ses bras il était encore plus difficile de contenir son émotion. Une fois sur que la maman et la petite puce soit en pleine forme, ils furent monté tout les trois dans une chambre. Alice s'allongea avec sa fille contre elle, Fred dans le fauteuil à côté d'elle ne pu résister à l'envie de dormir.

- Je crois que te rencontrer c'est beaucoup trop d'émotion pour ton papa. Tu verras il est merveilleux ça fait pas longtemps qu'on est ensemble mais je suis sûr que je l'ai bien choisi et qu'il donnera encore plus d'amour qu'il me donne, parce que t'es son petit trésor, notre petit trésor ma Cléo ! T'as chamboulé ma vie à peine J'ai su que t'étais dans mon ventre mais tout ça m'a apporté tellement de bonheur. T'es mon petit electroshock celui qui m'a fait comprendre que j'étais en train de passer à côté du vrai grand amour de ma vie, ton papa.

Alice fini par s'assoupir à la respiration de sa fille calée contre elle. Lorsqu'il se réveilla Fred ne pu s'empêcher de sourire en voyant les deux femmes de sa vie endormi. Il sorti de la chambre pour appeler Jacques.

"- Ah mon petit Fred J'ai vu le mot ce matin en me levant ! Alors ?
- Elle est née à 11h13, Elle est magnifique et votre fille a été incroyable.
- Je peux venir la voir ou Alice est trop fatiguée?
- Vous pouvez venir mais pas longtemps, elle est quand même bien fatiguée. Je vais appeler ma mère elle risque de débarquer dans la soirée. Ça vous dérangerez de préparer notre chambre pour elle, je ne sais pas à quelle heure je vais rentrer. Je veux profiter au maximum.
- Pas de soucis ! Je ne vous retiens pas plus longtemps je vous laisse profiter."