Epilogue

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Elliot Jones

Quelques années plus tard

Madyson : Tyler ! Laisse Silverback et rentre te coucher !

Sur le perron de notre maison, Madyson hurle sur notre fils de 4 ans qui ne veut pas laisser Silverback avec sa nouvelle copine.

Si on m'avait dit un jour que je serais marié et que j'aurais un gosse, j'aurais tellement rit que j'en aurais crevé.

Madyson : Ce gosse me fatigue.

Moi : Ecoutes, va prendre une douche et rejoins moi là-haut. Je vais le coucher.

Madyson : Merci, El.

Je lui administre une fessée, lui faisant comprendre qu'après sa douche, je ne compte pas la laisser se reposer.

Ma femme glousse et roule des hanches en montant les escaliers.

Bordel je vais la baiser comme il faut.

Ce soir, on a fêté le lancement de son deuxième livre.

Le premier ayant fait fureur aux Etats-Unis ainsi qu'en Europe, elle a pris la décision, avec Sebastian... De faire publier le second.

En quelques pas, je rejoins Tyler qui continue de caresser Silverback.

Moi : Est-ce que tu as trouvé un nom pour cette jument ?

Tyler : Poupoune !

Surpris, j'hausse un sourcil face à son large sourire.

Moi : Euh d'accord...

Bon, c'est un gosse après tout.

Moi : Va pour Poupoune... Ta mère va me tuer...

Tyler : Elle est où maman ?

Moi : Elle est partie se reposer et tu vas aller au lit toi aussi.

Tyler : Mais je veux rester avec eux.

Moi : Tu les retrouveras demain, mon grand.

Je le porte puis on rentre à la maison.

Dans sa chambre, je le couche, allume la veilleuse puis l'embrasse.

Moi : Bonne nuit, Tyler...

Tyler : Bonne nuit papa, je t'aime.

Petit con !

Il va me faire chialer avec ses mots d'amours !

Moi : Je t'aime aussi mon chéri.

Dans mon dos, je ferme lentement la porte.

J'entends l'eau de la douche se couper, ce qui signifie que l'intello a fini de se prélasser.

Frottant mes mains l'une contre l'autre, je vais dans la chambre pour l'attendre.

Lorsqu'elle m'y rejoint, elle porte un soutien-gorge en dentelle rouge, laissant entrevoir ses tétons déjà durs en dessous.

Sa mini-jupe écossaise est affreusement courte, me faisant bander illico.

En s'approchant de moi, elle fait claquer ses talons aiguilles sur le parquet.

Ses dents plantées dans sa lèvre, elle affiche ce regard que j'aime tant.

Une fois à ma hauteur, je lui roule la pelle du siècle, la faisant gémir dans ma bouche.

Cette fois, on va jouer et je vais lui montrer combien j'aime dominer.

Amour sous silenceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant