The Blue Bride[TERMINÉE]

Quarante Troisième Nuit

Again !

***

Lorsqu'elle les quitta, il en profita pour quitter l'étreinte de sa main et déchirer sa chemise et retirer délicatement son corset. Sa poitrine à présent complètement mise en à nue, il enfouit son visage, ses lèvres, sa langue.

Forçant Ayame à se cambrer et se mordre la lèvre pour ne pas gémir. Elle serra les draps du lit pour relâcher son emprise sur ses lèvres.

Il continua de descendre, Ayame ne pouvait retenir sa voix plus longtemps. Le plaisir étant plus fort, elle entrouvrit sa bouche. Ulrich retira délicatement ses bottes et son robuste pantalon.

Il pénétra un doigt en elle, Ayame gémit aussitôt. Elle se rattrapa en collant ses mains contre sa bouche. Ulrich remonta jusqu'à ses lèvres tout en laissant son doigt là où il était.

De son visage souriant, de ces yeux remplis de désir, Ayame retira ses mains de sa bouche. Ulrich s'approcha, ils pouvaient sentir leur souffle respectif. Il commençait à faire bouger son doigt, faisant bouger Ayame dans tous les sens.

Elle fronça les sourcils de plaisir, un sentiment nouveau, dont elle ne savait pas comment il fallait réagir.

« Détends-toi et laisse-moi faire, mon amour. »

Des paroles murmurées suavement par Ulrich. La chair de poule s'emparait d'Ayame, Cette dernière suivait les mouvements d'Ulrich pas à pas avec son doigt entre ses cuisses.

D'abord gênée et la tête tournée de profil, son désir brûlant pour Ulrich la força à diriger sa tête vers son visage, réclamant des baisers. Elle leva légèrement sa tête dans le but de croiser son regard et ses lèvres.

Ulrich y consentit et au même moment il rentra un second doigt, Ayame gémit à l'intérieur de sa bouche et enroula ses bras autour de sa nuque.

Elle écarta un peu plus ses jambes pour sentir les longs doigts qui effectuaient des vas et vient.

Ayame murmura son nom quand elle ne gémissait pas ou qu'elle n'avait pas ses lèvres sur elle.

Ulrich se positionna sur elle, ses doigts parcouraient sa joue, son cou et sa poitrine jusqu'à son bas ventre.

A présent nu aussi, Ayame frôla de l'extrémité de ses doigts la musculature d'Ulrich. Elle se souvenait des paroles du corbeau et combien tout ceci lui manquerait, des larmes venaient à couler.

Ulrich s'approcha de son visage pour les sécher. Il posa une main derrière sa nuque et une autre derrière sa cuisse.

« Serre-moi le plus fort possible. »

***

Comme on dit jamais deux sans trois !