Cette Envie Irrésistible - Livaï X Reader

Chapitre 20 : Week-end mouvementé (partie 3)

// NDA : le chapitre est énorme hihi. J'espère que l'histoire vous plaît, encore une fois, je compte faire une histoire assez détaillée en faisant évoluer au fur et à mesure la relation avec Livai donc ne vous inquiètez pas. Bisous et bonne lecture :)) //

Ce dimanche matin, je me réveille vers 9h et descend pour prendre mon petit déjeuner au réfectoire où les autres arrivent peu à peu. Je salue mes quelques amis qui étaient déjà ici.

Je me sers un café puis m'assois.

Moi : Bien dormis les amis ?

Eren : Un peu la gueule de bois mais ça va. Et toi alors ? je ne t'ai pas trop traumatisé hier soir ? dit-il en esquissant un sourire en coin.

Moi : Je me doutais que tu me ferais chier dès le matin Jaeger, soupirais-je en riant.

Connie : Oh le vent que tu viens de te manger Eren hahaha.

Eren : La ferme Connie, le jour où t'embrasseras une fille on en reparlera, autant dire que ça risque pas d'arriver.

Moi : Mais vous êtes en forme dès le matin vous ! bon, où est Armin ? questionnais-je en avalant une gorgée de café.

Mikasa : A la bibliothèque, il a dit qu'il t'attendait là-bas.

Moi : Exact, on avait prévu ça. Je termine mon café et je le rejoins.

Connie : T'as vu ça Eren, en fait c'est ton pote qui a rencard avec (t/p), t'es dégouté j'espère.

Eren : T'es vr...

Moi : Bon vous me saoulez, à plus les gamins, m'exclamais-je en levant les yeux au ciel.

Je débarrasse ma tasse puis déambule jusqu'à la bibliothèque.

Je pousse la porte en bois massif et pénètre dans la pièce où on peut sentir l'odeur des livres alignés majestueusement sur les étagères.

Je cherche le blondinet du regard et finis par l'apercevoir assis sur le canapé devant la cheminée où quelques bûches se consumaient lentement.

Je presse le pas et une fois à sa hauteur, je lui fais une légère tape sur l'épaule pour lui signaler ma présence puisqu'il est plongé dans sa lecture.

Il sursaute et tourne la tête vers moi en laissant un grand sourire se dessiner sur ses lèvres :

Armin : (t/p) tu m'as fais peur, je t'avais pas entendu. Assieds-toi, dit-il en m'indiquant la place à côté de lui.

Moi : Je voulais pas t'effrayer, tu es matinal pour un dimanche, tu lis quoi de beau ? l'interrogeais-je en m'installant à ses côtés.

Armin : Un livre à propos de la mer, tu sais cette grande étendue qui se trouve au-delà des murs.