France-Allemagne

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Pdv Didier

Le coup de sifflet retenti et les joueurs allemands saute de joie. Voilà notre aventure s'arrête au quart de finale de la coupe du monde au Brésil. Après un sacré parcours.

Nous avons gagné nos deux premiers matchs de poule face au Honduras et à la Suisse puis nous avons fait match nul face à la Colombie.

En huitième de finale nous avons affronter le Nigeria que nous avons réussi à éliminer à la dernière minute. Pour finir ici en quart de finale par une défaite face aux allemands.

Au moins la France aime de nouveau son équipe est c'était ça déjà le plus gros challenge. Je sers Karim puis Hugo dans mes bras pour les réconforté forcément déçu du résultat et rassure Raphaël qui se sent coupable sur le seul but encaissé.

Puis mon regard tombé sur un joueur bleu accroupi la tête dans ses mains. Antoine. Mon petit Antoine. Mon Grizou. Il vient d'être transfert à l'Atletico de Madrid champion d'Espagne en titre.

Il a parcourus du chemin depuis le mois de mars se petit. Il a marqué son premier but et viens de vivre sa première coupe du monde.

Ses coéquipiers viennent le rassuré et Paul l'aide à se relever. Hugo le sert contre lui et lui parle mais rien n'y fait. Je m'apprête à aller le voir mais on me retiens pour une interwien.

Je jure discrètement mais répond quand même aux questions qui me sont posées puis rentre dans les vestiaires. Je cherche du regard le numéro 11 mais il n'est pas présent.

Je cherche aussi dans les douches et en salle de conférence mais aucune traces de lui. Je retourne sur le terrain au milieu du stade désormais vide et c'est la que je le voit assis au milieu du terrain la tête dans ses mains.

Je m'approche de lui et arriver à ses coter je le voit qui pleure encore plus que toute à l'heure. J'ai un énorme pincement au cœur de le voir comme ça.

Je m'assois à coter de lui et caresse doucement son dos. Il relève la tête et me regarde avec ses yeux tout rouge. Mon cœur se sert encore plus en le voyant ainsi.

Antoine : Co... Coach...

Moi : je suis désolé j'aurais aimé venir te réconforté plus tôt mais tout ses journalistes voulez mon ressenti sur le match.

Antoine : ce n'est rien... Vous en faites pas...

Moi : pour que tu pleure comme ça il n'y a pas que la défaite. Même si je sais à quelle point ça fait mal on ne pleure pas comme ça. Dis moi se qu'il y a mon Grizou.

Antoine : je... Je ne veux quitter se pays. Je ne veux pas quitter Paul Hugo et les autres ! Je ne veux pas TE quitter !

Je suis surpris qu'il me tutoie mais sourit néanmoins. Il semble s'en rendre compte et rougis de gêne.

Antoine : pardon je vous ai tutoyé..

Moi : tu as tout à fait le droit. Et pour le fait de me quitter et de quitter l'équipe on sera toujours là en septembre ne t'en fais pas et puis je serai souvent sur Madrid donc si tu as besoin de me voir ou de me parler tu as mon numéro.

Antoine : merci Didier. Merci beaucoup.

Moi : mais derien. Allez viens la.

J'ouvre mes bras et il s'y réfugié sans hésiter. Je le sers contre moi et hume son parfum qui me rend fout. Je crois bien que lui aussi me sers plus fort.

Moi : je serai toujours là pour toi mon petit Antoine.

Antoine : et moi pour toi coach.

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