La Finale De L'euro 2016

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Pdv Antoine

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Pdv Antoine

Le coup de sifflet final retenti et les joueurs portugais courent sur le terrain en hurlant de joie. Je regarde mes coéquipier et certains pleurent. Moi non. J'ai assez pleuré la dernière fois.

On n'a fait un superbe parcours en chainant les victoires contre la Roumanie et l'Albanie ou j'ai marqué mon premier but dans la compétition. Ensuite on n'a fait match nul contre la Suisse.

Puis nous avons failli nous faire éliminer par l'Irlande sauf que j'ai inscrit un doublé et sauver notre peau. On n'a déroulé en quart face au islandais ou on a inscrit 5 but dont un de moi.

Et enfin j'ai pris ma revanche sur les allemands en demi ou j'ai encore inscrit un doublé pour notre place en finale. Que nous venons de perdre contre le Portugal dans les prolongation.

Je soupire et regarde mon Didier serré Patrice en pleurs contre lui. Il me regarde et par réflexe je me loge contre lui. Son touché et son odeur me rassure.

Moi : je voulais tellement la gagné putain...

Didier : je sais mon ange je sais que ça fait mal.

Moi : je voulais te la ramener. Notre premier trophée gagné ensemble.

Didier : on en gagnera un un jour.

Moi : tu me le promet.

Didier : je te le promet mon Grizou d'amour.

Je sourit puis il se détaché de moi pour aller répondre aux question des journalistes. Nous montons ensuite en tribune pour recevoir nos médailles d'argent.

Je suis juste derrière mon sélectionneur, qui juste après avoir reçu sa médaille la retire de son cou. Je fais de même puis repart dans les vestiaires ne voulant pas voir les portugais soulever se trophée qui nous revenait de droit.

Je rentre dans les vestiaires où tous rumine et je suis surpris de voir Bixente Lizarazu parler avec Didier avant de se diriger vers Hugo et de le prendre dans ses bras.

Notre capitaine doit s'en vouloir à mort de ne pas avoir réussi à stopper se ballon. Et dd Gignac a avoir frapper le poteaux en seconde période.

Je m'assois à ma place et écoute notre sélectionneur essayer de nous réconforter même si je vois bien des larmes au coin de ses yeux.

Une fois qu'il a fini il sort et je le suit. Je le voit au bord du terrain qui regarde les portugais heureux fêter leur sacre.

Moi : toi aussi tu as le droit de pleurer tu sais. On est humain même le grand Didier Deschamps.

Je vois un petit sourire se dessiner sur son visage.

Didier : peut être mais je ne veut pas pleurer. Je hais la défaite.

Moi : moi aussi.

Didier : dans deux la coupe elle sera pour nous.

Moi : on la ramènera ensemble mon amour.

Je lui prend discrètement la main qu'il sert et me regarde droit dans les yeux.

Didier : avec toi je me sens plus fort. Je ne sais pas comment le décrire mais tu me rend plus fort.

Moi : toi aussi. Tu me pousse à puisse dans des forces que je ne connaissais pas et ça me plaît.

On se sourit puis nous rentrons en nous tenant la main jusque devant la porte du vestiaire ou on se la lâche. Nous préférons pour l'instant rester discret même si le soir de notre première fois certains m'ont rapporter avoir entendu leur sélectionneur pousser des gémissement très très coquin et prononcé mon nom.

Si seulement ils savait que à se moment là je le déviergé il serait complètement dingue et certains tomberait dans les pommes.

Nous nous douchons puis ne rentrons à l'hôtel. J'attends que tous soient rentré dans leur chambre pour rejoindre Didier avec qui je dors chaque nuit. Je toque 3 fois c'est notre signal.

Il m'ouvre et j'entre avec mes affaires. Il me regarde surpris.

Didier : tu as déjà fait ta valise p'tit cœur ?

Moi : oui comme ça demain matin je passerai plus de temps avec toi. Demain après midi on part chacun de notre côté et je ne te verrai pas pendant deux mois donc je veux profiter un maximum de toi.

Didier : oh mon cœur viens là.

Il ouvre ses bras et je my réfugie volontiers. Je ferme les yeux tellement je suis bien contre lui. Il m'embrasse le front se qui me fait sourire.

Ensuite on se déshabille et j'ouvre ma valise pour prendre mon maillot de match contre l'Allemagne et lui tend.

Moi : tien comme ça tu pensera a moi.

Didier : oh merci mon chaton. Et tiens c'est une de mes veste quand je vous coach.

Moi : merci mon cœur. Tu sera toujours un peu avec moi comme ça.

Didier : exactement. Aller dodo tu dois être fatigué après se longs match.

Moi : un peu.

On s'allonge et je me sert contre lui. Je pose ma tête sur son torse et ferme les yeux alors qu'il me caresse les cheveux pour m'endormir.

Didier : dors mon cœur. J'espère qu'un jour je pourrai te faire ça tout les soirs.

Moi : je t'es fait une promesse messieurs Didier Deschamps et sache que Antoine Griezmann tient toujours ses promesses.

Je le sens rire un peu puis il éteint la lumière pour me serré contre lui et m'endormir profondément apaiser par sa présence.

A suivre

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A suivre..

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