POUDLARD, 1976.
Le récit de cinq meilleurs amis abattus par la vie qui, grand dangers, devront affronter.
mangemorts, basilic, kappa, cerbère, sirènes, tritons, strangulot, calmar géant, marcheurs blanc, loup garous, détraqueurs, dragons, et un tas...
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— J'adore cette chanson, pas toi?
James Potter se regardait devant la glace de sa salle de bain, répétant son numéro de Don Juan, repassant un centième coup de peigne dans sa chevelure parfaite.
Ses cheveux ne tiendraient pas jusqu'à son âge adulte, ça c'était sur.
— Si je l'adore, mais pas autant que je t'adore toi Jamiiie!
Appuyée contre l'entrebâillement de la porte, ne laissant apparaître que sa tête, Azëlind riait de son meilleur ami qui parlait seul, l'imitant avec une intonation aiguë, papillonnant des yeux.
— DÉGAGE DE MA CHAMBRE!! Sa voix cria dans un raisonnement, les joues rougies en lui claquant la porte au nez, apportant un fou rire à cette dernière ainsi qu'à Remus et Peter qui terminait d'attacher sa cravate.
À mesure que le mois de Novembre se rapprochait les jours raccourcissaient et le château devenait de plus en plus sombre, s'enveloppant dans un voile transparent de nuitée.
Sirius, les iris concentrés sur l'enchaînement de mots écrit à l'encre sur son bouquin, releva un regard désintéressé en entendant des rires autour de lui, remarquant l'arrivée de la brunette, ses yeux glissant à nouveau directement sur la page de son livre.
Puis d'un coup d'un seul, ils retrouvèrent leur chemin sur la présence d'Azëlind, le garçon déglutissant en l'observant, laissant son livre glisser hors de ses mains jusqu'à la douceur de son lit.
— Sirius! L'arc des lèvres de la femme remonta jusqu'à ses paupières, sa personne accourant vers le lit du Black en laissant une effluve de parfum après son passage. Redresses toi. Ordonna-t-elle, laissant l'homme faire et s'asseyant sur le rebord de son lit, une jambe à moitié pliée contre son matelas, l'autre pendant dans le vide.
Les fin doigts de la noiraude glissèrent jusqu'au col de l'étudiant, attrapant le tissu de sa cravate rouge et jaune en la lui nouant correctement, comme toujours.
— T'es bien beau ce soir dis moi. Pour qui tu t'es fais aussi charmant? Se moqua son amie en ignorant l'élevage de papillon battant des ailes dans son ventre face à un Sirius si attirant.
Face à lui, là, comme ça, elle se sentait bien minable.
— Toujours pour ma belle Azël'. S'amusa le jeune homme, ses lèvres se relevant en un rictus taquin, venant déposer ses deux grandes mains dans le creux de ses reins, contre le tissu de sa robe rouge sang, l'attirant vers lui.
— Non non du balai beau parleur! Elle se défit rapidement de son emprise, à contre coeur, reposant pieds à terre, la chaleur inondant ses joues et son organe vitale. Tu vas ruiner toute ma coiffure et Mary qui y a passée trois heures va me détruire moi.
