POUDLARD, 1976.
Le récit de cinq meilleurs amis abattus par la vie qui, grand dangers, devront affronter.
mangemorts, basilic, kappa, cerbère, sirènes, tritons, strangulot, calmar géant, marcheurs blanc, loup garous, détraqueurs, dragons, et un tas...
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i am flesh and i am bone rise up, ting ting, like glitter and gold i've got fire in my soul do you walk in the valley of kings? do you walk in the shadow of men who sold their lives to a dream? do you ponder the manner of things in the dark?
Les cours et le repas finit, les cinq amis rejoignèrent leur dortoir, James prenant sa cape avec lui, tous se changeant un à un, puis venant se glisser discrètement sous la cape, Azëlind un sac sur l'épaule droite, leurs baguettes à tous sur eux, ils purent quitter le château le plus rapidement possible.
Une fois enfin à l'extérieur, ils retirèrent la cape de leurs corps, James la pliant et sautillant derrière la jeune femme pour la ranger dans le sac, le vent frais venant fouetter leurs corps à tous, les cheveux volant dans les airs en tournoyant, leur procurant un rapide frisson, chacun courant vers le bord du lac, leurs pieds foulant l'herbe.
Attrapant deux des barques utilisées pour les premières années arrivant au château, ils montèrent dans ces dernières, Sirius et James dans l'une, Peter dans l'autre, Remus s'apprêtant à le rejoindre mais Azëlind le surpassant, allant s'assoir avec le blond en lui prenant les rames des mains, laissant le loup rejoindre l'autre barque.
Se pourrait-il que Sirius et Azëlind ne ce soient pas adressés un mot depuis le cours de la veille?
Ramant une bonne dizaine de minutes, les deux barques atteignirent enfin le milieu du lac, Azëlind lançant un sort d'immobilisation aux deux minis bateaux, tous se levant sur leurs jambes, leur moyen de transport tanguant légèrement sous leurs poids, des combinaisons de plongés sur le corps au lieu de leurs habituels habits.
S'apprêtant à lancer un énième sort pour qu'une bulle d'eau englobe son visage et lui permette de respirer même en dessous comme les autres venaient de le faire, la jeune femme vit son ami trembloter, et l'attrapa par les joues, ses paumes appuyant contre son épiderme.
— Eh, Pete, respires. Murmura-t-elle dans un souffle. Tout va bien, ok? J'suis là, il t'arrivera rien. Si t'as trop peur, je te force à rien, tu peux nous attendre ici. Rassura sa voix forte.
— Non non, je viens. Déclara-t-il, envieux de montrer son courage à son amie qui en possédait bien plus que lui.
Le fraîcheur de la nuit embaumait l'air tandis que la brunette lança son sort, mimant un rond avec son pouce et son index, les autres doigts levés, demandant aux garçons si ils étaient prêt.
Tous l'étant, lui répondirent alors par le même et simple geste tandis qu'elle fit un décompte avec ses doigts, chacun prenant une grande bouffée d'air, plongeant directement à l'eau dans un gros éclaboussement commun qui humidifia d'avantage leurs barques en projetant des gerbes d'eau froide.
