POUDLARD, 1976.
Le récit de cinq meilleurs amis abattus par la vie qui, grand dangers, devront affronter.
mangemorts, basilic, kappa, cerbère, sirènes, tritons, strangulot, calmar géant, marcheurs blanc, loup garous, détraqueurs, dragons, et un tas...
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give me the lights, give me the hate, give me the pressure nowhere to run, nowhere to hide, pain is pleasure i hear the wolves calling my name, no surrender here only the strong survive don't need to sign, nothing divine's gonna save me i'm a machine, building a dream is what shaped me breaking the door, waging a war, no escaping watch me as i touch the sky the blood i taste is the price i pay all my scars will fade the monsters in my head will become the pain, i'm a fighter cut-throat, i'm a winner stone-cold, my heart is the trigger cut and i bleed out on my street i ain't a martyr killing the dark, i am a light growing stronger watch me as i come alive nothing ever hurts when you feel no pain they say the world's gonna forsake me the poison in my ears won't shake me feel my inhibitions fading risin' up, risin' up they ain't gonna break me
Dès que les gens ont réalisé qu'il avait un talent pour ce sport, James Potter était connu comme un "Dieu du Quidditch" à Poudlard. Avoir un si gros titre l'a amené à être un modèle pour les plus jeunes. Cela l'a conduit à devenir obsédé par le fait d'être le plus parfait possible.
Le brun s'entraînait tous les jours pendant environ quatre heures au moins. Par passion, par désir de toujours vouloir faire plus. Et un petit défaut lui ferait se demander s'il était vraiment bon.
Parallèlement à son amour pour le quidditch, il devait être là pour ses amis. Il devait être l'ami heureux, celui vers qui les gens se tournaient quand ils se sentaient déprimés. Parce que comment pourrait-il être triste quand ses amis ont pire? Se demandait-il sans arrêt? Comme Remus qui se déchirait la peau chaque mois, où Sirius qui vomissait de peur quand il devait rentrer chez lui, où encore Azëlind qui semblait se faire arracher un peu plus chaque jour le moindre aspect de sa vie par sa famille. Comment le grand James Potter pouvait-il être triste?
James Potter, pauvre James Potter.
James qui en a marre de tout, mais avant tout, marre de lui-même. Oh qu'il aimerait être quelqu'un d'autre parfois, et ne pas être..comme cela.
S'emporter pour un rien, s'énerver pour un rien, pleurer pour rien, tout prendre mal et tout analyser, surréagir, dans ces rares moments là, James se détestait de toute son âme.
Après une embrouille avec ses meilleurs amis, dans son dortoir, une dispute toute bête, comme toujours, du genre, quelqu'un qui avait laissé traîner ses affaires dans la salle de bain, où alors oublié du savon contre le bitume, les faisant glisser maladroitement en manquant de se briser la nuque.
Mauvais jour pour James, qui c'était emporté, criant, tapant dans un mur, et c'était enfuit, énervé, au bord des larmes, la crise de colère sur le dos, après avoir claqué la porte. Et les garçons savaient que quand James était comme cela, il fallait toujours lui laisser un peu de temps seul.