23, 𝒖𝒏 𝒏𝒐𝒖𝒗𝒆𝒂𝒖 𝒄𝒉𝒆𝒛 𝒍𝒆𝒔 𝒑𝒐𝒕𝒕𝒆𝒓.

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homea place where i can goto take this off my shoulderssomeone take me homelook, i didn't power through the struggle just to let a little troubleknock me out of my position, and interrupt the visionafter everything i witnessed, after all of these ...

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home
a place where i can go
to take this off my shoulders
someone take me home
look, i didn't power through
the struggle just to let a little trouble
knock me out of my position,
and interrupt the vision
after everything i witnessed,
after all of these decisions
all these miles, feet, inches
they can't add up to the distance
that i have been through, just to get to
a place where even if there's
no closure, i'm still safe
i still ache from trying to keep pace
somebody give me a sign,
i'm starting to lose faith








La fine brise d'un aquilon de septembre faisait voler ses cheveux dans les airs, les talonnettes noir claquant contre le sol en pierre du château, Azëlind déambulait à l'entrée de celui-ci, les bras le long de son corps, tel un pantin, aucun signe distinct sur ce dernier laissant augurer quoi que ce soit de ce qu'elle pensait ou ressentait, et pourtant, jamais les traits de la jeune femme n'avaient été aussi mauvais, glaciales, menaçants, acerbes.

Dérivant ses iris vers la droite, elle aperçue la silhouette des marauders ensemble dans la cour du château, l'observer, les traits baignant dans le regret où l'amertume, dégoulinant des cendres d'un souvenir lancinant.

Arrachant son regard de cette vision en contractant sa mâchoire, ses canines lacérant sa langue, elle reprit sa route, comme si ils n'étaient qu'une simple distraction, comme si ils n'existaient pas. Sa cape s'envolait au rythme de ses pas brutes.

Sa salive s'avala difficilement. Les marauders étaient en guerre. Non, pire que la guerre, les marauders n'étaient plus, Azëlind faisait désormais cavalier seul dans l'attention de ne leur adresser aucune mélodie époumonée de ses lèvres durant toute l'année.

Qu'avait-il pu se passer durant les vacances scolaires pour en arriver à cette fatalité débridante?

Et sous sa robe, ça la démangeait, la brûlait, la picotait. Enfouit dans son bras, comme une tache d'encre indélébile, la marque des ténèbres gisait sur son épiderme, contrastant la noirceur de la tâche avec le pâlot laiteux de ses cellules.

Azëlind Targaryen était une mangemort.

Oh, quelle belle rentrée de septième année.

Oh, quelle belle rentrée de septième année

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𝐁𝐎𝐑𝐍 𝐓𝐎 𝐃𝐈𝐄, sɪʀɪᴜs ʙʟᴀᴄᴋ.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant