POUDLARD, 1976.
Le récit de cinq meilleurs amis abattus par la vie qui, grand dangers, devront affronter.
mangemorts, basilic, kappa, cerbère, sirènes, tritons, strangulot, calmar géant, marcheurs blanc, loup garous, détraqueurs, dragons, et un tas...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
home a place where i can go to take this off my shoulders someone take me home look, i didn't power through the struggle just to let a little trouble knock me out of my position, and interrupt the vision after everything i witnessed, after all of these decisions all these miles, feet, inches they can't add up to the distance that i have been through, just to get to a place where even if there's no closure, i'm still safe i still ache from trying to keep pace somebody give me a sign, i'm starting to lose faith
La fine brise d'un aquilon de septembre faisait voler ses cheveux dans les airs, les talonnettes noir claquant contre le sol en pierre du château, Azëlind déambulait à l'entrée de celui-ci, les bras le long de son corps, tel un pantin, aucun signe distinct sur ce dernier laissant augurer quoi que ce soit de ce qu'elle pensait ou ressentait, et pourtant, jamais les traits de la jeune femme n'avaient été aussi mauvais, glaciales, menaçants, acerbes.
Dérivant ses iris vers la droite, elle aperçue la silhouette des marauders ensemble dans la cour du château, l'observer, les traits baignant dans le regret où l'amertume, dégoulinant des cendres d'un souvenir lancinant.
Arrachant son regard de cette vision en contractant sa mâchoire, ses canines lacérant sa langue, elle reprit sa route, comme si ils n'étaient qu'une simple distraction, comme si ils n'existaient pas. Sa cape s'envolait au rythme de ses pas brutes.
Sa salive s'avala difficilement. Les marauders étaient en guerre. Non, pire que la guerre, les marauders n'étaient plus, Azëlind faisait désormais cavalier seul dans l'attention de ne leur adresser aucune mélodie époumonée de ses lèvres durant toute l'année.
Qu'avait-il pu se passer durant les vacances scolaires pour en arriver à cette fatalité débridante?
Et sous sa robe, ça la démangeait, la brûlait, la picotait. Enfouit dans son bras, comme une tache d'encre indélébile, la marque des ténèbres gisait sur son épiderme, contrastant la noirceur de la tâche avec le pâlot laiteux de ses cellules.
Azëlind Targaryen était une mangemort.
Oh, quelle belle rentrée de septième année.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.