POUDLARD, 1976.
Le récit de cinq meilleurs amis abattus par la vie qui, grand dangers, devront affronter.
mangemorts, basilic, kappa, cerbère, sirènes, tritons, strangulot, calmar géant, marcheurs blanc, loup garous, détraqueurs, dragons, et un tas...
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Les mois s'écoulèrent dans un tourbillons d'enchaînements aussi lourds à porter que des habits trempés.
Regulus, à son plus grand désarroi, avait du retourner à Poudlard. Retourner dans ce lieu familier sans celui qui sonnait le nom famille de ce mot était invivable. Les regards de pitié sur lui, Barty, Evan et tout les mangemorts présents dans l'enceinte du château s'y pavanant fièrement, comme si tout leur appartenait déjà.
Mais tout n'était pas bon à jeter. Outre ses études qui étaient bien la dernière de ses préoccupations, il passait tout le temps qu'il pouvait à la bibliothèque ou dans la salle sur demande, lisant le moindre ouvrage parlant de magie malveillante, magie noir, de reliques, de mort, et le moindre sujet qui pourrait s'apparenter familier aux horcruxes ou à Voldemort lui-même.
Il notait toutes ses recherches dans un journal pleins de gribouillis protégés par un sort dont seul lui et Azëlind pourraient accéder, et les deux ne pouvaient se partager leurs informations qu'en cas de grand danger ou importance imminente. Il était alors seul à Poudlard, la tête plongée dans ses livres et le journal qu'il remplissait un peu plus chaque jour.
Mais heureusement, Azëlind ne le lâchait pas pour autant, et malgré son quotidien chargé, elle trouvait toujours le temps de lui écrire au moins deux ou trois lettres par semaine. Ils ne parlaient pas des horcruxes, juste de banalités, prenaient des nouvelles, discutaient de leurs quotidiens qu'elle enjolivait énormément au cas où quiconque tomberait sur leurs échanges.
La Targaryen, dans son coin, à nouveau plongée dans sa solitude, se noyait dans son quotidien. Jouait sur les deux côtés avec perfection. Missions secrètes pour l'ordre. Elle attaquait des mangemorts d'un côté et se battait avec eux de l'autre. Certaines missions menaient aussi à s'introduire dans des endroits soit disant probables d'êtres des quelconques indices ou non sur les horcruxes, récupérer des vieux portoloins, des anciennes reliques, se baladant de part et d'autre de la grande-bretagne avec son patronus sur le dos, et quelques fois, Fumseck en moyen de transport.
Dumbledore transvasait entre son rôle de directeur de Poudlard, ses rôles au ministère ou même dans l'ordre de Merlin, comme chef de l'ordre du phenix et avec ses recherches sur les horcruxes et sur le passé de Tom Jedusor, mais l'avance se faisait relativement faible en comparaison avec les horreurs qui s'accumulaient du camp des ténèbres.
Azëlind ne faiblissait pas sous les moyens non plus. Surplombant ses missions pour les deux côtés, elle passait le reste du temps dans ce qu'elle qualifiait de son taudis, sa table de fortune, ses chaises et son canapé étouffés de parchemins, d'affiches, de livres qui volaient même en lévitation dans les airs, ses doigts entachés d'encre si profondement qu'elle ne savait si elle réussirait un jour à s'en débarrasser, les habits gardés pareil durant de nombreux jours, les cheveux débraillés et les joues colorés de traces noirs d'encre.