POUDLARD, 1976.
Le récit de cinq meilleurs amis abattus par la vie qui, grand dangers, devront affronter.
mangemorts, basilic, kappa, cerbère, sirènes, tritons, strangulot, calmar géant, marcheurs blanc, loup garous, détraqueurs, dragons, et un tas...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
don't go tonight stay here one more time remind me what it's like, oh and let's fall in love one more time i need you now by my side it tears me up when you turn me down i'm begging please, just stick around i'm sorry, don't leave me, i want you here with me i know that your love is gone I can't breath, i'm so weak, i know this isn't easy don't tell me that your love is gone
(sortez votre chanson la plus triste me laissez pas chialer seule)
— ATTERIS!
Les timbres fébriles d'Azëlind tremblaient contre sa pomme d'adam qui semblait loger les battements de son coeur par la même occasion, rugissant à son dragon qui se posa directement entre quelques grand arbres dans la forêt bordant le village.
Les semelles rencontrant à peine l'herbe moite, le groupe se précipita les jambes à leur cou jusqu'au chaos, deguenant maladroitement durant leur course leurs morceaux de bois magiques, Syrax les attendant en se repliant contre ses écailles entre la protection de la cime des arbres recouvrant la moitié de son corps immense.
La panique rongeait leurs seins, rendant leurs mouvements mal habiles, l'herbe sous leurs pieds se changeant en dalles de pierres face au village de Pre-au-Lard. Le village qui avait bercé leur scolarité, à moitié en ruine. Des habitants et élèves du château, parsemés de débris de bâtiments, de poussière de bois, ensevelit de sorts, l'horreur couvrant leurs traits, les mangemorts décorant à merveille le paysage, le recouvrant d'une telle manière qu'on avait l'impression qu'ils y avaient toujours prit pied, en tel nombre.
Les partisans du mal déballaient leurs sorts de toutes parts, la folie et l'euphorie marbrant leurs physionomies et gestes qu'ils ne contrôlaient même plus.
Le chaos régnait en maître dans l'air embaumé de l'odeur âcre et poisseuse du sang, des éclats de poussières et débris, des intonations des hurlements.
Les cris de désespoir, d'horreur, de peur. Le sang. Les corps envolés de parts et d'autres devant eux. Les morts. Les morts.
Avec toute la difficulté du monde, Azëlind tenta de concentrer ses pensées parsemés de confusion et de panique le temps d'un instant sur un grand souvenir de joie, sa baguette pointé vers le ciel couvert de ténèbres, ses doigts tremblant autour du morceau de bois.
— EXPECTO PATRONUM!
La lueur bleuté et albâtre jaillit violemment de sa baguette, la lumière l'aveuglant et se promenant dans les airs pour former un immense dragon fantomatique, flottant dans les alentours et zigzaguant son ombre entre les nuage, s'éloignant d'ors et déjà.
Les garçons c'étaient jetés dans la bataille, et sans attendre un fragment de seconde de plus, Azëlind les rejoignit en plongeant directement dans le bain, se noyant parmis les hurlements, les sorts difficilement esquivés, les lueurs colorés s'échappant des baguettes passant tel de funestes étoiles filante dans le reflet de ses iris, elle-même produisant plusieurs sorts, les marauders aidant les autres à se défendre, se blessant, hurlant l'air hors de leurs poumons qui accumulaient de mauvaises émanations, les jets des sorts se mélangeant en une harmonie ironique avec ceux du sang, l'air puant soufflant sur les nuages de terre et de poussière.