POUDLARD, 1976.
Le récit de cinq meilleurs amis abattus par la vie qui, grand dangers, devront affronter.
mangemorts, basilic, kappa, cerbère, sirènes, tritons, strangulot, calmar géant, marcheurs blanc, loup garous, détraqueurs, dragons, et un tas...
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L'été avait fait des ravages sur les adolescents, ils en étaient ressortis nouveau.
Sirius avait laissé pousser ses cheveux, au plus grand plaisir de sa meilleure amie, et des filles du château.
Azëlind avait laissée ses cheveux pousser et se livrer bataille le long de son dos, décidant qu'à partir d'aujourd'hui, elle aurait les cheveux long. Peut-être une envie de se sentir plus..comme les autres filles.
Les garçons étaient au bout du rouleau, si les cours se faisaient de plus en plus difficile, rien n'était pire que l'histoire de la magie, avec ce professeur si ennuyeux, qu'Azëlind adorait pourtant, qui demandait pour cette année une dissertation par semaine.
— Salut Sirius, j'adore tes cheveux. Souria une jeune fille passant par la, entortillant l'une de ses mèches entre ses doigts, lui montrant toutes ses dents, les quatres amis de celui aux beaux cheveux se stoppant dans leur marche pour assister à la scène.
— Merci. Souria-t-il, un clin d'oeil accompagnant ses paroles, faisant glousser la blonde qui s'éloigna, Azëlind haussant un sourcil.
— Gngngn, salut Sirius, j'adore tes cheveux. Imita-t-elle, sentant clairement le seum de très loin.
— Merci. Fit Remus en imitant le clin d'oeil de son meilleur ami, Peter, James et lui même partant en fou rire en se faisant dévisager par Azëlind.
— Oh ferme ta gueule toi. Râla-t-elle.
— Qu'est c'que cet idiot a encore fait? S'amusa Sirius en s'approchant à nouveau d'eux, passant un bras sur les épaules de la brunette.
— Il a ouvert la bouche, voilà le problème. Souffla-t-elle.
— Roh allez voyons, me boude pas Azie. Souria le cicatrisé en pinçant les joues de l'étudiante qui tira sa langue comme une enfant.
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— Enfaite, c'est ton dortoir ici c'est ça? C'est nous les étrangers? Demanda Frank à Azëlind qui s'installa pour la millième fois depuis la première année, dans le lit d'un des garçons.
— La ferme, ou je prend ton lit à toi et je te vire. Ceci dit, je sais pas si tu seras si triste que ça, dormir dans la même pièce que ton amoureuse. Souria narquoisement la brune en roulant des sourcils.
Les joues du garçon rougirent à la seconde même tandis qu'il lança un coussin sur la jeune fille, se tournant dos à elle en fermant les yeux pour s'endormir, grommelant tout seul dans sa barbe.
— Merci pour l'oreiller Franky. S'amusa-t-elle.
À force de venir s'incruster dans le dortoir des garçons, Azëlind était devenue amie avec Edgar et Frank, et elle adorait charier ce dernier avec Alice, et vice versa en embêtant la brune.
