POUDLARD, 1976.
Le récit de cinq meilleurs amis abattus par la vie qui, grand dangers, devront affronter.
mangemorts, basilic, kappa, cerbère, sirènes, tritons, strangulot, calmar géant, marcheurs blanc, loup garous, détraqueurs, dragons, et un tas...
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and when i felt i I was an old cardigan under someone's bed you put me on and said i was your favorite to kiss in cars and downtown bars you drew stars around my scars but now i'm bleedin' 'cause i knew you steppin' on the last train marked me like a bloodstain tried to change the ending Peter losing Wendy i knew you leavin' like a father running like water
— T'as mangée?
— Ouep. Les lippes d'Azëlind s'entrouvrirent en y soufflant sa réponse, rangeant ses potions sur bureau abîmé.
— Bonne fille. Sirius, laissant le coin de sa lèvre se relever avec amusement, allongé sur son lit, bouquinait l'un de ses livres de chevet.
Qu'est-ce qu'il venait de dire?
— Bon toutou. L'imita-t-elle, le garçon lâchant son livre en se levant directement du lit, faisant pousser un cri à la jeune femme qui, sans réfléchir, quitta le dortoir à toute vitesse en se faisant courser par le Black.
Courant l'un derrière l'autre dans les couloirs, leurs pas tapant fortement contre le sol avec répétition, résonnant en même temps que leurs éclats qui attiraient les regards de tout les tableaux, tableaux qui regardaient le Black tomber amoureux de la Targaryen un peu plus chaque année, déambulant entre ses murs de pierres.
À bout de souffle, Azëlind s'arrêta dans l'entrée d'un couloir, respirant à peine, morte de rire, ses poumons sifflant, appuyant son dos contre le mur en pierre froid, Sirius la rejoignant rapidement, venant se coller contre elle, les deux mains appuyées au dessus de sa tête, le buste se redressant et retombant au rythme de ses pulsations, les joues rougies par l'effort et le souffle court, ses mèches rebelles de cheveux tombant devant son visage.
— Tu fais moins la maligne hein? Les traits de son visage si blanc se fendent alors dans un sourire, le faciès penché face au sien qui rigolait, laissant la jeune femme passer ses bras autour de sa nuque.
Leurs regards dérivant l'un et l'autre sur les iris puis les lippes, leurs souffles rapides et chaud tapant contre le visage des deux, leurs rires se calmant peu à peu, les torse se bombant et se relâchant, Azëlind un peu plus calmée déglutissa en sentant ses joues la brûler autant que son ventre crépitant au bord d'un feu, tirant la langue au garçon en s'échappant sous son bras, reprenant sa course de plus belle en laissant un Sirius avec des papillons pleins le ventre et le coeur, la suivant de bon coeur le rire plein les poumons, les deux amis grimpant à toute vitesse jusqu'à la tour d'astronomie, tentant de ne pas se vautrer au vu de la sombreté de la nuit, mains fermement agrippés sur la rampe d'escalier.